1. Liaisons dangereuses (15)


    Datte: 18/07/2017, Catégories: Hétéro

    ... rigole, mais ça s’est déjà vu des braquages par des hommes casqués je te ferais dire !! — D’accord, d’accord, la prochaine fois, j’entrerai sans casque, promis !! — Alors, quoi de neuf Florian ? — Pas grand-chose, le boulot principalement, content d’être en week-end !! — Comme je te comprends !! Puis, la mine de Denise devient plus grave, et elle rajoute : — Et comment va Jenny ? Je n’ai plus trop de nouvelles depuis l’autre fois... — Jenny est revenue au bureau hier. Elle a parlé avec son frère et tout est rentré dans l’ordre ; — Aaaaaaah, super, je suis contente !! Je vais l’appeler ce week-end pour avoir des nouvelles alors ! — Elle est partie chez une amie pour le week-end, histoire de se détendre, attends peut-être lundi prochain ; — Oui d’accord, je vais faire ça. Je suis vraiment soulagée qu’elle aille mieux, elle m’a beaucoup inquiété vendredi dernier ! D’ailleurs, comment ça s’est passé une fois que vous êtes partis ? Jenny m’ayant demandée de ne rien dire à Denise concernant le gang-bang qu’elle a fait, je lui sers donc une explication tout ce qu’il y a de plus banale : — Et bien j’ai fait en sorte de la calmer, on a passé une bonne partie de la soirée ensemble à discuter puis je l’ai ramené chez elle, elle voulait être seule ; — C’est très aimable de ta part de l’avoir soutenue en tout cas ; — C’est bien normal. Denise me sourit puis me dit : — Tu veux quelque chose à boire ? Café, thé, Coca, Ice Tea, limonade... énumère-t-elle ; — Va pour un Ice Tea !! — Je ...
    ... t’amène ça, assieds-toi et mets-toi à l’aise, je t’en prie !! Avant d’aller chercher ma boisson, Denise m’indique une table basse entourée de petits fauteuils capitonnés et sur laquelle sont étalés quelques magazines. Je m’assois et pose mes affaires à mes côtés, puis mon regard vient croiser celui de la jeune femme, toujours debout derrière le comptoir. Elle me lance un petit sourire avenant avant que le téléphone ne sonne, et pendant qu’elle répond, je continue à la détailler discrètement du regard. C’est un format de poche – dans les 1m50/55 à vue d’œil -, une peau légèrement hâlé qui paraît lisse et très douce, une chevelure raide mi-longue de couleur châtain assez clair avec quelques mèches blondes, le tout encadrant un visage de poupon avec des yeux marron clairs discrètement maquillés et de petites lèvres fines enduites d’un rouge à lèvres couleur rouge pâle. Son petit haut blanc et moulant épouse les formes d’une poitrine à la taille modeste, je dirais un petit 80 bien tassé, pas plus. Elle a une petite voix, très douce, renforçant son allure enfantine, elle ne doit pas dépasser les vingt ans maxi. Puis, je suis tiré de mon examen par un éclat attirant mon regard, éclat venant de la lumière extérieur se réfléchissant sur le badge qu’elle porte au niveau de sa poitrine, badge sur lequel est écrit son prénom, « Marion » Celui-ci me rappelle furieusement quelque chose... Je fouille dans mes souvenirs pour essayer d’en retrouver l’origine. Je n’ai jamais eu de relations, ...
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