1. L'université : de la soumission à la consécration (2)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... m’avance un petit peu jusqu’à la chambre proprement dite (la porte d’entrée donne sur un petit couloir dans lequel se trouve également la minuscule cuisine). Je suis terrifié à l’idée de me faire surprendre, surtout à cause d’une lubie ridicule, mais j’ai trop besoin de savoir. Soudain, je suis à deux doigts de sursauter, mon cœur rate un battement : j’entends un homme soupirer, exactement comme le faisait ma sœur. Comme s’il était en train de se faire sucer. Mais c’est ridicule : de toute façon Camille ne suce pas, ce n’est donc forcément pas elle. Pourtant, plus aucun doute ne m’est permis en glissant la tête par entrebâillement de la porte : Camille est bien à genoux sur le sol, une main autour de la bite de son parrain et l’autre sous ses couilles, occupée à le sucer avec un savoir-faire et une gourmandise qui me sidèrent : elle est tellement prude au lit normalement ! Mais que se passe-t-il ? Qu’est-elle devenue ? Tandis que je me pose encore un milliard de questions, Paul tourne la tête et m’aperçoit. Tétanisé, je n’ai même pas le temps de faire un geste. A ma grande surprise, il ne semble pas gêné par la situation, ni en colère contre mon intrusion. Au contraire, un vaste sourire se dessine bientôt sur son visage. Je suis totalement défait par ce que je vois : ma copine, qui est quasiment frigide avec moi, est à genoux devant un inconnu, occupée à le sucer goulûment. En voyant que je ne réagis pas (je suis tétanisé par la scène et je ne sais absolument pas comment ...
    ... réagir : je devrais hurler, faire un scandale, mais j’ai presque aussi honte d’être cocu que je ne suis en colère contre Camille), Paul en rajoute : il passe une main dans les cheveux de ma copine et fait pression sur son crâne pour lui insuffler son rythme. — Vas-y, suce-moi bien… soupire-t-il. Voilà comme ça, c’est bien… Huuummm, t’es une sacrée gourmande toi ! Et Camille ne dit rien, se laisse traiter comme une actrice porno ! Non, pire : elle soupire maintenant d’aise comme une vraie nympho. A croire que rien ne lui fait plus plaisir que de le sucer, elle qui me le refuse parce que « c’est dégoûtant » ! Mais que se passe-t-il ? Qu’a-t-il fait d’elle ? Et il continue, comme si me torturer l’aidait à prendre son pied : — Il en a de la chance ton copain d’avoir une fille comme toi dans son lit ! Il ne doit pas s’ennuyer, même si je ne suis pas sûr qu’il serait enchanté de te trouver là… — Je ne suis pas comme ça avec lui, répond Camille en interrompant brièvement sa tâche. Il est gentil tu vois, alors je ne veux pas qu’il me voie de cette manière-là… Puis elle reprend son travail en aspirant la tige de Paul, dégoulinante de salive. Tandis que les bruits de succion s’accélèrent, il semble transporté de joie par la confidence de Camille. Il m’observe d’un regard goguenard qui semble dire : « tu vois ce que MOI je peux faire avec ta copine ? » Je suis brisé, humilié, et pourtant je ne parviens pas à décrocher les yeux de la scène qui se joue sous mon nez. Je tente de me convaincre ...
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