1. L'université : de la soumission à la consécration (2)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... beaucoup de mal à l’emmener jusqu’à l’orgasme. Je poursuis alors mon œuvre, léchant sa vulve offerte avec appétit. A chaque passage, ma langue est inondée de ses liquides intimes, mais il y en a pourtant toujours autant au suivant. Je n’ai connu sexuellement que Camille, je manque donc d’éléments de comparaison, mais elle me semble particulièrement productive. Tandis que ses gémissements s’accélèrent, je décide de me concentrer sur son clitoris. Je le prends dans ma bouche, le suçote un peu, puis je le pince entre mes lèvres et le titille avec ma langue. Léna n’en peut plus, elle gémit si fort que les occupants des chambres adjacentes ne peuvent que l’entendre. Elle se dandine même, incapable de contrôler son plaisir. Je la sens très proche de l’orgasme, mais je suis maintenant follement excité et je bande comme un taureau. J’arrête donc mon massage bucco-génital et je commence à déboutonner mon pantalon. — Qu’est-ce que tu fais ?! me demande Léna, frustrée. — J’en peux plus, laisse-moi te baiser… Elle se redresse, en colère maintenant. — Hors de question, c’est pas comme ça que ça marche ! Tu m’as pris pour une pute ou quoi ? T’es mon élève, autant dire mon esclave. Tu vas donc me lécher jusqu’à ce que je jouisse à réveiller toute l’école, puis tu vas retourner dans ta chambre avec ta bite dure comme du bois et tu vas t’endormir dessus, c’est clair ? Et interdiction même de te branler ! — Mais c’est pas juste ! — Juste ? ricane-t-elle. Qui parle de justice ? C’est comme ça ...
    ... que fonctionne « L’éveil ». Pour le moment tu es mon élève, alors apprends déjà à obéir. Lèche-moi maintenant. L’ordre est clair et met fin à la discussion. Léna se rallonge, ne doutant pas de ma reddition. Et elle a raison. Je retourne servilement entre ses cuisses et reprends mon travail là où je l’avais laissé. Il ne me faut pas très longtemps pour lui faire de nouveau frôler l’orgasme, mais cette fois je ne m’arrête pas. Elle commence à gémir de plus en plus fort, puis elle se tortille de plaisir. Son bassin se soulève et gigote au gré de ses halètements, mais je tiens bon et continue à lui téter le clitoris. Je sens bientôt une de ses mains se poser à l’arrière de mon crâne et le coller contre son vagin, mais c’est superflu car je la dévore déjà avec appétit. Ses liquides intimes continuent à m’irriguer les lèvres et la langue en me régalant de leur texture gluante et de leur délicieuse odeur de femme. J’avale tout ce qui se présente avec délectation. — Huuumm… c’est merveilleux… gémit-elle. Ses mouvements de bassin s’accélèrent, je sens que l’orgasme commence et ne pourra plus être stoppé. Je suis heureux qu’elle apprécie ainsi ma prestation, il me tient à cœur d’être un bon élève. Et qui sait, ça me sera sans doute profitable plus tard… Sa main agrippe maintenant mes cheveux, elle n’est pas loin de me faire mal. — Vas-y, continue… bouffe-moi bien la chatte… Un flot de mouille m’inonde la bouche tandis que ses propos graveleux sont remplacés par un hurlement de plaisir. ...
«12...5678»