La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°672)
Datte: 06/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Pauline au Château - (suite de l'épisode N°611) - Les deux hommes me détachent, l’un d’eux me prend sur son épaule, et me porte jusqu’à la voiture. Je suis posée dans le coffre, je me recroqueville, encore en transe de l’orgasme que j’ai reçu. La voiture démarre, et continue sa route sur le chemin de terre. Après quelques temps de trajet, le moteur finit par s’éteindre, j’entends les portes claquées, puis le coffre s’ouvrir. La lumière m’éblouit, je suis nue, pour me sortir du coffre et me mettre debout, le plus robuste, me tire alors par mon collier, pour me trainer sur un large perron menant à une grande porte à double battant en bois sculpté et verni, c’est l’entrée d’un Château somptueux : Celui du Maitre, je présume. Cette double porte s’ouvre, et un grand hall d’entrée s’offre à moi, le carrelage est froid sous mes pieds, le silence qui règne dans cette pièce est oppressant, je frissonne, une excitation me parcours, ainsi qu’un sentiment d’angoisse, je découvre enfin ce lieu, majestueux, impressionnant, qui impose le respect, et l’ordre. Les gardes chasses m’ont abandonnés, je suis seule dans ce hall, et d’instinct, je prends la pose de soumise : jambes écartées, mains sur la nuque, tête baissée et le regard fixé sur mes orteils et ainsi immobile, j’attends. Une bonne dizaine de minute, je grelotte, j’ai froid quand ... Des bruits de pas parviennent à mes oreilles, quelqu’un s’approche, je n’ose relever la tête, je reste impassible, tentant de calmer l’excitation qui ...
... bouillonne dans mon bas ventre. Les pas se sont arrêtés à ma hauteur, tête baissée, je vois juste ses chaussures impeccablement vernies et un bas de pantalon d’un costume de bonne facture. Je sens des mains d’homme passer sur mes seins, pincer mes tétons, descendre sur mes hanches, claquer mes fesses à plusieurs reprises. Je garde le silence, et maintiens ma position. L’homme est dans mon dos, je le sens attacher une laisse à l’anneau de mon collier, et passe un bandeau sur mes yeux. Toujours sans un mot, ses mains agrippent ma chevelure, il me force à me mettre à genoux, puis à quatre pattes, rapidement je comprends que je dois le suivre. Aveugle, j’avance en quadrupédie aux pieds d’un homme, le trajet me parait une éternité, quelques marches se présentent à moi, je les monte en douceur. Nous avançons dans ce qui semble être un long couloir feutré d’une moquette épaisse, puis dans un autre couloir, nous traversons une partie carrelée qui me fait mal aux genoux. J’entends un brouhaha et des gémissements qui s’amplifient lors de mon approche, la porte s’ouvre, le silence se fait. L’homme tire sur la laisse, et nous continuons d’avancer, un tapis sous mes pieds est le bienvenu, calmant mes douleurs aux genoux et aux coudes. Je suis amenée aux pieds de quelques marches, qu’on me fait grimper. Puis, la main de l’homme reprend ma tignasse, et ma tête bute contre une paire de chaussure lisse. Ma langue pendue, je m’apprête à lécher les chaussures qui se présentent à moi, j’imagine ...