1. Valérie : l'insoupçonnée (12)


    Datte: 06/05/2018, Catégories: Hétéro

    ... prononcé ces mots. Elle glisse à côté et se met à quatre pattes. Cette position, ses fesses sublimes, une parfaite invitation. Derrière elle, j’introduis ma bite dans sa vulve humide et entame de vifs va-et-vients. Je ne résiste pas longtemps à cette surexcitante levrette et jouis en elle. Quelques minutes plus tard, nous sommes assis à l’ombre et mangeons nos salades. Valérie n’a remis que son soutien-gorge et son string roses et je porte un boxer bleu marine. Elle dit : — Je pense qu’on devrait appeler cette endroit "Première fois", parce que c’est la première fois qu’on le fait dehors. — Mouais… Ça pourrait porter à confusion. Valérie réfléchit. — Effectivement. Alors comme c’est un endroit vraiment idéal, que penses-tu de "Paradis" ? — C’est vrai que c’est un petit coin de paradis. Ça me va très bien. Et pour les autres ? Nouvelle réflexion. — Pour le banc de notre premier rendez-vous, je dirais "Retrouvailles". — Je valide aussi. — Et pour celui qui se trouve sur le coteau… — Que penses-tu de "Désirs", au pluriel ? — Oh, c’est parfait, le mot parfait. Un petit smack confirme nos choix et nous n’utiliserons désormais que ces termes pour désigner ces lieux. Nous finissons nos salades et Valérie dit : — Oh, il faut que je te gronde. — Ah bon, pourquoi ? — Tu as de la chance que ça soit moi qui fasse les lessives à la maison. Il y avait une grosse trace de sperme sur mon pantalon noir, ...
    ... celui que je portais vendredi. J’éclate de rire. — Voilà donc où il est allé ! — Mais tu as fait comment pour ne pas le voir ? — J’étais le nez dans ton string rouge, debout et j’ai éjaculé sans regarder ! — Ça t’excite tant que ça ? — Ça m’a rendu fou. xcvxggq — Depuis notre nuit, je pense beaucoup à toi et je peux te dire que mes strings quotidiens portent les traces de mes pensées. — Comme le rouge ? — Oh, bien pire. Avec la chaleur, ils ne sont beaux à voir. Encore moins à sentir. Elle rit, je l’embrasse. Malicieuse, elle ajoute : — Mais si tu veux, je t’en garde un… — Non, je le prendrai moi-même. Valérie sourit, m’embrasse et passe la main dans mon boxer. Je bande. Elle se penche et me suce quelques instants. Plus tard, c’est à mon tour de donner dans la caresse buccale. Couchée sur le dos, Valérie jouit deux fois avant de se tourner sur le côté. M’ouvrant le passage pour son anus, je la gratifie d’un long anulingus qui la comble de plaisir. Remontant derrière elle, je la pénètre ensuite en cuillères. Tendres, passionnés et doux, nous ondulons de concert et c’est bien plus tard que je jouis en elle. Il est déjà tard et nous nous rhabillons. Un dernier baiser passionné avant de partir et je la dépose devant son travail. J’arrive au mien à 14h30. Mon boss me regarde, je m’excuse et me met au boulot. Le mail de Valérie ne tarde pas : elle a du temps vendredi à midi. Comment dire non ? 
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