Des cours de math pour les vacances
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
vacances,
intermast,
... emprunter, c’était des sous-vêtements et j’espérai qu’elle irait fouiller dans les jupes, tout en bas de l’armoire. Cela l’obligerait à se baisser, permettant peut-être à la serviette de se relever et de m’offrir une vue imprenable sur ses jolies fesses rondes. J’essayai de continuer de parler de la dérivée d’un logarithme à Magali mais j’avais bien du mal à me concentrer. En fait, Juliette ne prit rien d’autre que les sous-vêtements, réduisant mes espoirs à néants, et quitta la pièce en nous souhaitant un bon cour avec un clin d’œil. Je continuai donc dépité et remarqua alors le sourire amusé de Magali. Je souris à mon tour. — Qu’est-ce qu’il y a ?, demandai-je d’un ton innocent.— Rien du tout, fit Magali mais je savais bien qu’elle avait tout compris à la situation. Elle est jolie ma sœur, ajouta-t-elle.— Oui, très, répondis-je. Bon, tu me calcules la dérivée de ln(x²-1). Le cour finit, je croisai Juliette au moment où je partais. Elle portait une longue robe à fleur d’été, ce qui lui donnait un petit côté hippie, en plus classique. J’imaginai que sous cette robe, elle portait les sous-vêtements empruntés à sa sœur et l’image d’elle dans ces sous-vêtements raviva quelques chaleurs en moi. — Désolé de vous avoir dérangé, tout à l’heure, me dit-elle.— Tu ne nous a pas dérangé du tout, répondis-je. Pas du tout. Elle me regarda avec un drôle d’air puis reprit une expression plus classique, avec un large sourire. — Tant mieux. À la prochaine. Après ce qui s’était passé, je me ...
... demandai vraiment comment les rapports entre Juliette et moi allaient évoluer. Elle qui m’avait parut si distante les premières fois qu’on s’était vu devenait de plus en plus proche de moi, et sur beaucoup de points. Je n’arrivai pas à savoir si elle me draguait ouvertement ou pas mais en tout cas mes sens en étaient tout ébouriffés ! Le lendemain, le cour avait de nouveau lieu l’après-midi et je décidai d’arriver un petit peu en avance. Michelle, la femme de ménage, m’ouvrit la porte et je montai l’escalier, me dirigeant vers la chambre de Magali. La porte qui, dans le couloir, précédait celle de Magali était pour une fois ouverte et je pus voir à quoi servait la salle (rien de Barbe-Bleue là-dedans, je vous rassure !). En fait, Juliette était là, face à un chevalet, un pinceau à la main. Il y avait dans la pièce tout un tas de peintures, posées ci et là, et Juliette, habillée d’une vieille chemise qui lui descendait à mi-cuisses. Elle qui me paraissait prude aux premiers abords, n’était-elle pas un brin exhibitionniste, finalement ? Son regard croisa le mien et elle me sourit, nullement gênée. — Vincent, tu es déjà là ?— Oui, j’allai voir Magali. Je ne savais pas que tu avais un atelier pour peindre.— Et ben si ! Tu veux voir ce que je peints. J’acquiesçai évidemment (j’allai pas dire non de toutes façons !) et entrai dans la pièce. — Ferme la porte, me fit-elle, et viens voir. Tu en penses quoi ? C’est sûr qu’en repensant à la déco de la chambre de Magali, je voyais bien en ...