Retour de Londres
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
fh,
couple,
cadeau,
train,
toilettes,
pénétratio,
fdanus,
jouet,
piquepince,
tutu,
... interrogation lorsque je remonte également ton pantalon. C’est un peu dépitée que tu rejoins ton fauteuil dans la voiture. Tu me vois alors esquisser un sourire plein de désir et ressens soudainement une vibration entre les cuisses… Tu me regardes fixement, tes pupilles se dilatent. Tu comprends que je veux te voir jouir dans ce train et tu découvres dans ma main gauche une petite télécommande, alors que les vibrations se font plus présentes. Quelques dizaines de secondes maintenant que tes yeux sont mi-clos, tu sembles perdre tout contrôle, t’abandonner aux sensations qui se diffusent depuis ton sexe, quand tu ressens le début d’une vibration sur le bout de tes seins. Tu aperçois alors un second boîtier dans ma main droite. Je ne vois plus le vert de tes yeux ; il ne reste que deux énormes ronds noirs, ta bouche est entrouverte, tu sembles avoir perdu la parole. Ce n’est pas moi qui te contrôle mais ton plaisir, tu lui es soumise, maintenant. Tu trouves l’énergie de te pencher vers moi pour me parler. Tu es conquise par ces acquisitions, tu tentes de te rapprocher en avançant tes mains sur mon entrejambe. J’intensifie les sollicitations… On dirait que tu vas me manger. Tu découvres le contact indirect de l’œuf et du petit objet logé dans ton anus, je crois que cela commence à te plaire. Tu me chuchotes : — Je veux ton sexe dans ma bouche. Difficile, nous sommes quand même dans un train, certes peu rempli, mais nous ne sommes pas seuls, même si personne n’a visiblement perçu ...
... ton émoi. Tu te renverses alors sur ton dossier, encore une fois tu sembles légèrement frustrée mais toujours débordante de désir. Tes jambes sont entrouvertes, tu es au comble de ton plaisir, et je vois apparaître sur ton pantalon de toile, sous le zip, une auréole qui grandit doucement. Tu t’abandonnes, la tâche grandit toujours. Je donnerais tout pour être à ce moment cet œuf ou cette rose de métal inondés de tes jus. Tu rougis, comment vas-tu faire avec ce pantalon souillé ? Tu regardes fixement la bosse que fait mon sexe prêt à éclater. Tu me supplies : — Retournons aux toilettes. Je crève d’envie de toi. Nous revoilà dans ces deux mètres carrés, je caresse ton entrejambe mouillé, nos langues s’entremêlent, tu es toujours sous l’emprise de ces jouets vibrants lorsque tu t’agenouilles devant mon bassin. Enfin, tu délivres mon sexe tendu de sa cage de tissu devenue douloureuse, tu le caresses, l’embrasses. L’extrémité de ta langue le parcourt avant que ta bouche ne l’engloutisse une première fois. Ta langue se fait large sur mes bourses, puis revient vers le gland, je vis un délice sous tes caresses. Je veux ta bouche mais cela ne suffit pas, je veux ton sexe. Je veux entrer le plus profond possible en toi. Tu te relèves et ton pantalon peine à descendre, j’y parviens en m’agenouillant, reprends l’œuf que je nettoie délicatement du bout de la langue. Je n’en peux plus, je te retourne et t’incline sur la tablette du lavabo… Ton cul est magnifique ! Je le caresse, le claque. ...