Les entremetteuses
Datte: 07/05/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
extracon,
vacances,
campagne,
collection,
noculotte,
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
portrait,
J’avais accepté l’invitation de Natou, ma sœur, samedi midi. Elle voulait me remercier d’avoir aidé son mari à élaguer un vieux pommier qui menaçait de s’écrouler chez le voisin. Ma frangine était une excellente cuisinière et, divorcé depuis trois ans, à cinquante-deux ans, j’aurais été bête de refuser l’occasion d’un repas raffiné. Elle avait aussi invité une copine avec qui elle faisait de l’aquagym et son époux, évidemment. Natou m’avait prévenu : pour éviter tout impair de ma part, je ne devais absolument pas parler politique à table car le mari de sa copine soutenait un candidat aux primaires et il devait même assister à un meeting, ce jour-là, en soirée. Elle m’avait également dit de ne pas m’étonner de la grande différence d’âge entre sa copine Claire et son mari : Claire avait perdu son premier mari très tôt ; avec deux enfants en bas âge et un maigre salaire de fonctionnaire territoriale, elle n’envisageait pas un avenir serein. Le directeur de son agence bancaire – qui s’était occupé de son dossier – lui avait donc fait une proposition. Il était veuf et sans enfant. Il épousa Claire, s’occupa parfaitement de l’éducation et des études des enfants tout en se montrant un excellent époux. Maintenant, ce brave homme allant sur ses soixante-treize printemps, la différence d’âge avec son épouse de vingt ans sa cadette, devenait criante d’après ma sœur. « Alors, surtout, fais comme si de rien n’était. » avait exigé Natou. Par un vent glacial de la mi-septembre, j’arrivai ...
... pratiquement en même temps que le couple invité chez la frangine. Quand on se débarrassa de nos doudounes d’hiver, Natou nous pria de patienter un peu car il manquait une invitée surprise : sa prof de peinture sur soie, jamais à l’heure. Le beau-frère et le monsieur âgé, très sympas, parlaient coupe d’Europe de football. Moi, je me lavai les mains avant de décortiquer un grand bol de crevettes grises pour l’apéro. Claire décida de m’aider, à condition que je l’initie à cette technique qu’elle ne connaissait pas. Elle portait un ensemble jupe et veste en jean et des collants, ou des bas, d’un vert étincelant qui mettait malencontreusement ses gros genoux en valeur. Faut dire que c’était une belle plante, la copine de Natou : grande, même avec ses mocassins plats ; un cou de première ligne de rugby avec un début de double menton ; des joues bien rondes ; une longue queue de cheval retenue par un élastique ; des hanches larges agrémentées d’énormes fesses moulées par la jupe, un peu juste pour ce gabarit. Quel cul ! Ce qui était surprenant, c’est que, vu son gabarit, sa poitrine, sous son pull à col roulé, paraissait modeste. Je m’assis sur le canapé en posant les crevettes grises sur la table basse du salon, et Claire se plaça en face de moi, debout, pour bénéficier de ma démonstration technique. Visiblement, elle apprit très vite les astuces et s’accroupit de l’autre côté de la table, face à moi, pour être à hauteur du bol de crevettes. Claire, complètement concentrée sur le ...