1. Une vieille docteur outragée (1)


    Datte: 08/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... la maintient assise. Marie sens son cœur s’accélérer encore, elle a chaud, elle a peur. -Allez, fais pas semblant de pas en avoir envie, salope, dit le jeune, en poussant doucement le visage de Marie vers la grosse bite bandante de son frère. Son gros gland violacé est à seulement 10 cm, son odeur très présente. -Suce le, te prive pas comme ça. Allez, ouvre la bouche. -non, mais… non ! arrêtez ! tremble Marie, essayant sans succès de reculer sa tête. Mais le jeune la pousse encore plus, jusqu’à lui coller la joue sur la grosse bite chaude. Marie est en panique : -Non, arrêtez ! non… vous…ce n’est pas… Elle a très chaud, et doit reprendre son souffle. Et le pire, c’est qu’elle sent son intimité qui s’humidifie, dans sa culotte. Ça la choque, la chamboule complètement. Le jeune profite de ce moment de trouble pour faire glisser la blouse de Marie le long de ses cuisses blanches et charnues. En dessous, elle a une jupe grise, et il la soulève aussi pour aller placer ses doigts carrément sur sa culotte, sur son pubis. Ils descendent plus bas, le jeune doit sentir qu’elle est mouillée, c’est horrible !... et voilà qu’il la caresse, la faisant mouiller encore plus ! -Arrête de dire non, cochonne, dit le jeune. T’es toute trempée là, tu mouilles comme une belle salope. Chienne de docteur. -Non, arrêtez, c’est faux… je… je… ho… je… non… Marise ne trouve plus ses mots, ses « non » sont un peu plus faibles, les doigts du jeune sont maintenant entré sous sa culotte, pénétrant ...
    ... l’intimité de sa chatte. Ils jouent avec son clitoris, la rendent chaude et mouillée. Elle veut crier… Mais soudain une énorme chose chaude et moelleuse est dans sa bouche. Ça a un goût de transpiration, et légèrement d’urine… L’autre homme lui a carrément mis sa bite dans la bouche ! Et il fait des va-et-viens à l’intérieur. Marie est obligée de sucer un homme ! -Ho ouais, t’as une bonne bouche, entend t-elle. Vas-y suce moi, tu vas aimer sale pute. Mon frère et moi on se disait bien que t’étais une chienne. Ça faisait un moment qu’on voulait venir te décoincer. -T’es bonne, ouais, la grosse. Avec tes bons gros seins… allez, enlève ça, ta grosse culotte de vieille, laisse respirer ta chatte trempée… T’es trempée ouais, t’en peux plus. Lui laissant enfin la bouche libre, le jeune a relevé Marie de sa chaise et lui enlève sa culotte, montrant sa grosse touffe mal entretenue. Et c’est vrai qu’elle est mouillée. Quelle honte ! Marie aurait voulu disparaître. -Non.. ; s’il vous plait… arrêtez ; C’était plaintif, sans force. -regarde moi cette belle chatte poilue frangin ! sourit le jeune. Allez, on enlève le reste, on va te mettre à poil, vieille pute.. . C’est beau les vieilles grosses comme toi, ça m’excite. -moi aussi, dit l’autre , qui s'est levé de la table. Il met la main de Marise sur sa bite qui bande toujours. C’est chaud et dur dans la paume de Marise, palpitant, tandis qu’il se branle avec sa main. -Ho.. ; non… pitié. Ce n’est qu’un murmure. Le jeune lui ôte sa blouse, puis sa ...