1. Baignade surprise


    Datte: 08/05/2018, Catégories: Mûr,

    Je m'étais toujours bien entendu avec Catherine. Aussi, quand elle a été virée de ma boîte, j'étais plutôt contrarié. Mais bon, je pouvais toujours demeurer en contact avec elle, ce dont je ne me suis pas privé. Nous nous écrivions donc à l'occasion. Petits appels téléphoniques aussi. Déjeuners à deux ou trois reprises. Faut que je précise. Catherine et moi étions tous deux dans la mi-quarantaine. Soucieuse de son apparence et de sa santé, elle se tenait en grande forme. Toujours mince, toujours active, telle une gamine qui aurait eu la moitié de son âge. Un rire de gamine, aussi. Ce rire qui m'emballait sans cesse. Et un je ne sais quoi qui me laissait croire qu'elle avait eu... comment dirais-je... une vie bien remplie d'expériences de toutes sortes. Pas une vie de débauche, bien sûr. Mais une vie... enjolivée! Elle déplorait cependant n'avoir aucun homme dans sa vie depuis son divorce, il y a trop longtemps. Un jour, alors que j'avais eu l'idée de lui téléphoner, elle me dit « Passe chez moi samedi : ce serait tellement chouette. » Il n'en fallait pas plus pour que je me décide. « Je suis justement tout fin libre samedi. C'est comme si j'y étais. Et on annonce un temps superbe : une vraie belle journée chaude de juillet! » Le samedi arrive. Je me rends chez Catherine, qui habite un coquet petit pavillon de banlieue. Je sonne : c'est une jouvencelle qui m'ouvre. Catherine est vêtue d'une légère robe d'été. Elle ne porte aucun bijou, aucun maquillage, juste un léger ...
    ... parfum des plus enivrants. Elle est irrésistible. Elle me fait donc visiter sa maison, que je n'avais jamais vue. Le salon, la cuisine, le bureau. Puis le patio. Un patio joint à une piscine hors-terre bien cachée par quelques arbres. Un petit coin de paradis. « Souhaiterais-tu faire une petite trempette? » me demande-t-elle. Alors là, les amis, c'est à ce moment que les neurones tordus de ma caboche ont pris le dessus. L'initiative saugrenue par excellence. Je réponds « Bien sûr! ». Je présume que j'aurais dû attendre qu'elle m'offre de me prêter un maillot. Mais en une fraction de seconde, je me lance. Je retire mon T-shirt. Je me déchausse de mes sandales. Et d'un geste rapide et déterminé, plantant les pouces directement sous l'élastique de mon slip, je descends en un instant celui-ci et mon bermuda. Je suis à poil devant Catherine, qui ne réagit pas — tant elle est estomaquée. Vite, je me lance dans l'eau. Une petite minute de mouvements, histoire de dire que je me suis baigné. Puis je sors de la piscine pour revenir sur le patio. Je suis nu devant Catherine, qui cherche un peu ses mots. « Ça fait du bien », dis-je avec une désinvolture un peu feinte. Catherine ne dit rien. Elle baisse son regard vers mon entre-jambes. C'est alors que je la sens qui s'empare de mon sexe. Une main sous les testicules et l'autre sur la verge, qui ne demande pas mieux que de sentir la chaleur de sa paume, de ses doigts. Doucement, sans dire un mot, les yeux toujours fixés sur mon membre, elle ...
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