elle 20 ans, lui 70 ans... (8)
Datte: 08/05/2018,
Catégories:
Erotique,
Nous avons continué à jouer au papy et sa petite fille dans le magasin de vêtements que nous avons exploré ensuite. En arrivant, j’ai tout de suite aperçu un homme de mon âge qui traînait au rayon lingerie féminine du magasin. C’était une boutique de vêtement plus généraliste que la boutique de lingerie que nous venions de quitter, il y avait des rayons hommes, des rayons femmes et il y avait aussi de la lingerie. Ce septuagénaire accompagnait une femme plus jeune que lui. L’écart n’était pas aussi important que le mien avec Justine, la femme devait avoir la quarantaine bien avancée. Elle était élégante et sexy. Il n’y avait aucune vulgarité en elle, mais on ne pouvait pas ne pas voir qu’elle aimait attirer l’attention sur ses charmes. Elle était belle et elle le savait. Elle aurait pu être sa fille, mais leur comportement, leur manière de se parler indiquaient plus assurément qu’il s’agissait de son épouse. Il était en charmante compagnie, mais cela ne l’empêcha pas de remarquer Justine. Il vit rapidement qu’elle était accompagnée, mais rapidement, il ne vit pas en moi un rival, mais un obstacle. En effet, il n’avait aucun doute, je n’étais pas pour lui le galant de Justine, mais son grand-père. De mon côté, j’ai très vite cerné le personnage. Il aimait les jeunes et belles femmes et son épouse avait certainement dû, avec son accord ou à son insu, le partager avec d’autres. Il était toujours à l’affut et semblait trouver Justine à son goût. Je voyais bien qu’il cherchait ...
... comment approcher Justine et surtout comment il pourrait l’éloigner de moi pour engager la conversation. J’ai décidé, bien entendu, de lui faciliter la tâche. Je savais qu’il me fallait jouer serré, il ne serait pas aussi « aveugle » que les deux précédentes vendeuses. Heureusement, Justine avait bien compris notre jeu et je n’avais pas vraiment à intervenir pour lui faire jouer son rôle de « petite-fille à son papy », elle le jouait d’ailleurs à merveille. Je commençais donc à jouer le « papy » voyeur qui trouvait la petite brunette d’une quarantaine d’année à mon goût. Je m’arrangeais, bien entendu, pour qu’il s’en aperçoive. Comme je m’y attendais, il s’amusa de me voir « vouloir reluquer » sa tendre et douce. Nous étions, lui et moi, fait du même moule, loin d’être jaloux qu’on lorgne sur la femme qui nous accompagne, nous y trouvons une réelle fierté. En coq averti, nous affichons nos conquêtes pour les exhiber tel un trophée… et plus l’âge avançait et plus cela prend de l’importance. Je suis plus joueur que collectionneur, c’est la raison qui me fait jouer au Papy qui ne fait pas de résistance, il était, je pense plutôt collectionneur, mais pas de ceux qui cachent leurs œuvres d’art dans un coffre-fort pour l’admirer en toute sécurité mais qui les affiches en vitrine pour faire saliver les envieux. Il avait vu en moi un pervers comme il les aime, de ceux qui aiment regarder, voire toucher et qui l’envient d’avoir fait si belle prise. J’imagine sans problème ce qu’il devait ...