La putain
Datte: 09/05/2018,
Catégories:
fh,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
amourpass,
... un autre, tant que vous vous aimerez ! Et vous baiserez comme les autres ! Sir Edward était un gentleman, mais il était aussi un peu un obsédé ! À soixante-sept ans encore, jusqu’à la veille de son infarctus, je peux te dire qu’il continuait à me sauter deux à trois fois par semaine. Et plutôt bien ! Il ne fallait pas lui en promettre ! D’une manière générale, Edward était très tendre et romantique, mais parfois, dans le feu de l’action, il s’emballait un peu, il me demandait de faire la pute, d’être sa petite putain, une salope qui écarte les cuisses ou se fait mettre par-derrière ! Et quand on s’amusait avec Margaret, je te promets que ça pouvait être gratiné ! Mais Edward me traitait de putain, moi, comme il aurait traité une autre femme de la même façon ! Et il le pouvait : il m’aimait ! Vraiment, sincèrement ! Alors oui, parfois, souvent même, j’étais sa pute ! Sans complexe, sans me poser des questions, parce que je l’aimais, parce qu’il m’aimait et parce qu’on adorait la baise ! Et pour vous, ce sera pareil : baisez, envoyez-vous en l’air autant que vous voulez, amusez-vous ! Vous êtes jeunes ! Et que tu l’appelles Stéphanie, ma chérie, ma petite pute, salope ou putain, ça n’y changera rien. Vous vous aimez ! Elle me laisse digérer son sermon, si on peut appeler ça comme ça ! Gonflée quand même, mémère, pas froid aux yeux, et pas la langue dans la poche ! Dans le genre direct et sans fard, elle se posa là ! — Moi, ce que je te demande juste, c’est d’être gentil avec ...
... elle. Elle le mérite ! Et je peux te dire que je t’ai à l’œil, mon gars ! Rends-la heureuse, c’est tout ce qu’on te demande. Sinon, gare à Mamy Betty et à Marguerite. Et à Nono aussi ! On est peut-être des vieux schnocks, mais fais-nous confiance pour te remonter les bretelles s’il le faut ! Je suis un peu scotché par tout ça ! En même temps, il me vient une énorme tendresse pour cette incroyable Lady putain ! Je me lève et m’en viens lui coller un énorme bisou sur la joue, je la serre fort contre moi : — Merci Betty ! La vieille dame se détache de moi, surprise par cet élan de tendresse. Elle me repousse gentiment : — Bon hey, tu te calmes, gamin ! Et reprenant son vrai-faux accent british : — Maintenant, tu rentres à ta maison et tu prépares une bon repas à ton chérie ! oooOOOooo Nous sommes pelotonnés l’un contre l’autre, imbriqués, le dos de Stéphanie plaqué à mon ventre. Position fœtale. Tendresse, volupté, sérénité. Nous apprécions la douceur du moment, le lent atterrissage duveteux et confortable d’après orgasme. Stéphanie ronronne. — Tu sais, j’ai croisé ta voisine en rentrant : elle promenait King Charles et n’avait plus une once d’accent. Elle m’a dit que tu m’expliquerais. Mais bon, elle m’a surtout dit qu’elle avait discuté avec toi !— Ah oui, et elle t’a dit quoi ?— Elle m’a parlé de tes angoisses… existentielles ! Tu sais, tu ne dois pas t’en faire. Si parfois tu me traites de pute, c’est pas grave, tant que ce n’est pas dans le cadre d’une engueulade, tant que ...