1. L'inconnue du train


    Datte: 09/05/2018, Catégories: fh, inconnu, train, Voyeur / Exhib / Nudisme intermast, Oral pénétratio,

    ... s’abandonner à mes caresses. Je vois que mes attentions ne la laissent pas indifférente. Ses tétons pointent sous sa sage robe d’été. Et une trace humide apparaît sur son string rouge qu’elle me donne à voir sans réserve, maintenant cuisses largement ouvertes, robe écartée pour ne plus rien dissimuler. Mais le train arrive en gare. Elle se rajuste vivement et me sourit, les joues rosies sous son hâle, refermant son dernier bouton. Nous descendons ensemble, sans un mot, complices, puis elle s’éloigne d’une démarche féline dans la gare, noyée dans la foule, tandis que je la regarde disparaître. ***---***---*** Le lendemain, fébrile, j’attends mon train sur le quai. Déception. Le train arrive. Elle n’est pas là. La semaine s’écoule ainsi. Chaque matin, je l’espère, chaque matin, je me retrouve seul avec mes rêves. Cette femme me hante. Je la désire, je la veux du plus profond de mon âme. Mais elle semble s’être évaporée comme un songe fiévreux s’évanouit au réveil. ***---***---*** À l’unisson de mon humeur, le temps vire au gris, devient maussade, se rafraîchit au point que je doive me remettre en costume. Moi qui mourais de chaud il y a une semaine, me voilà à grelotter sous une pluie fine ce lundi matin. Le sempiternel train gris revient. Mais, le miracle s’accomplit ! Elle est là ! À la même place ! Et je la vois avec plaisir chercher quelque chose du regard sur le quai. Son regard s’arrête sur moi, me fixe, et elle me sourit franchement, l’air soulagé. À mon entrée dans ...
    ... le wagon, elle m’ignore, semble concentrée, à lire son éternel magazine. Mais je la sens plus détendue, comme libérée d’une longue attente. Cette fois, je me place sur la banquette, juste en face d’elle. Nous sommes dissimulés aux yeux des autres voyageurs derrière la cabine des contrôleurs. Je m’installe sagement, mon regard parcourant son corps superbe comme un naufragé aperçoit une île, avec désir, avec joie et un peu incrédule de ma chance. Elle porte un strict tailleur noir, avec une veste et une jupe légèrement fendue ; elle a mis des talons aiguilles ; ses jambes sont gainées de bas noirs. C’est la femme d’affaire dans toute sa splendeur, hautement désirable, inaccessible. Le train démarre. Je ne veux plus perdre de temps. Je la veux. De suite. Ici. Je prends avec douceur son magazine et l’ôte de ses mains. Elle me laisse faire. Son superbe regard brun me fixe, un demi-sourire erre sur ses lèvres entrouvertes. Je tends ma main vers sa joue, et la caresse, remontant vers sa nuque. Les yeux mi-clos, elle s’abandonne à cette tendre caresse, tandis que je soupire du simple plaisir de toucher enfin sa magnifique peau bronzée. J’approche mon visage et effleure ses lèvres d’un baiser, léger d’abord, puis, alors qu’elle vient à ma rencontre, de plus en plus appuyé. Nos bouches s’entrouvrent, nos langues se découvrent, se titillent, se caressent, puis s’entremêlent fougueusement tandis que la passion retenue nous submerge enfin. Ses mains s’accrochent à moi, jouent dans mes ...