1. Moi, Fifille mes débuts de lopette - 1ère Partie (1)


    Datte: 09/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    I – Moi, Fifille mes débuts de lopette Je m’appelle Philippe. J’avais à l’époque un peu plus d’une trentaine d’années et je venais de finir mes études de pharmacie depuis 5 ou 6 ans. Je vivais alors seul, célibataire, un peu libre comme le vent, mais pour autant sans abuser de cette liberté, sans doute à tort, sans véritable passion sinon une attirance pour la gent féminine. Plutôt exigeant, je prêtais attention uniquement aux femmes un tant soit peu jolies, c’est à dire fines et pas trop vulgaires. J’avais eu quelques aventures féminines bien entendues notamment à la fin de mes études, mais sans lendemains. Par ailleurs, de nature assez timide et timoré à leur égard, ces aventures étaient assez peu nombreuses et pour cause … Ma première véritable copine, Valérie, je ne fus pas capable de la retenir. Je n’en étais, il est vrai, pas vraiment amoureux, mais surtout je n’arrivais pas à la satisfaire convenablement et cela je le lisais sur son visage dépité un peu comme sur un livre. Mes érections, en effet, n’étaient pas véritablement franches et ma jouissance était très, trop rapide. Je ne parvenais à la satisfaire plus ou moins qu’après de longues caresses en utilisant mes doigts à la place de ma queue un peu défaillante…. et moi même je sortais à chaque fois un peu plus frustré, conscient de ne pas être à la hauteur. Notre liaison ne dura pas 6 mois. Après les études, d’autres femmes traversèrent ma vie, car mon apparence, grande et mince plait assez, mais ces liaisons ...
    ... étaient toujours fugaces pour ces mêmes raisons… et le soir après le boulot, je me retrouvais souvent seul avec moi même dans mon petit studio. C’était la grande époque du Minitel et j’en fis l’expérience. D’abord curieux, intrigué, je devins rapidement accroc du 3615 et du 3614, masqué sous un pseudonyme, la plupart du temps a connotation cool. Ce Minitel me coûtait beaucoup d’argents, mais je reconnais avoir fais pas mal de rencontres, pas mal de rencontres et autant de désillusions…. Je rentrais chaque fois insatisfait après avoir fait des insatisfaites…. n’arrivant à prendre du plaisir que dans le fantasme, quand je revenais, seul, ma petite queue entre mes mains. C’est alors que progressivement, je pris conscience de ma nature et de mes réelles capacités, ou plus exactement mes réelles incapacités. Je comprenais que je n’étais pas capable d’assurer, pas capable de satisfaire une femme par mon sexe, bref que je ne pouvais pas prétendre être viril, être un homme. Je baissais la tête et en regardant ma queue, petite et mole ; petite queue qui n’avait jamais réellement pénétré une femme, jamais osé sodomiser la moindre femme de peur d’échouer, qui restait môle même dans les bouches les plus délicieuses. Je compris ce que j’aurais dû réaliser depuis longtemps, à savoir que je n’étais qu’un sous-homme, une lopette et que si je voulais avoir le privilège de côtoyer une femme ce ne serait qu’en me mettant à son service en lui étant soumis pour tout, le ménage, les taches ménagères, et ...
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