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    Datte: 10/05/2018, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... déroulement de nos ébats. Je me positionnai sur lui et entrepris de me pénétrer en maintenant son sexe dans la direction de ma rosette. Par des contractions j’aspirai doucement la verge rigide jusqu’à sa base. Profitant de la présence d’étagères auxquelles je m’agrippai, j’entamai un mouvement de va et vient. La position me permis d’apprécier le corps et les yeux de mon apollon. Je me pénétrai plus rapidement et plus violemment. Je sentis au plus profond de moi l’engin d’Arnaud venant titiller ma prostate. Mon sexe, en pleine érection, se balançait au rythme endiablé de la sodomie. Des gouttes de liquide séminal s’échappaient de mon méat pour se projeter dans toutes les directions sans que je ne me masturbasse, les mains me servant d’appui sur les étagères. J’étais déchaîné et sans aucune inhibition. Á ce stade, mes mouvements devenaient presque brutaux, je me violais littéralement. C’est à bout de force et en nage que je laissai jaillir mon sperme. Mon fessier, se contractant, entraina la jouissance de mon amant qui me prit les hanches pour une première pénétration à son initiative mais la dernière de notre chevauchée fantastique. Je me relevai, fourbu et ne sentant plus mes jambes. Nous profitâmes de la présence de serviettes de toilettes pour nous essuyer. Je désirais profiter encore quelques minutes de la vision de son corps magnifique et l’embrassai. Épanoui, je le remerciai pour ce moment fabuleux. Lui, semblait moins enjoué et c’est avec une gêne visible qu’il se ...
    ... rhabilla et prit rapidement la poudre d’escampette sans même accepter un café. J’avais les sens assouvis mes j’étais désemparé quant à sa réaction post coïtale. C’est avec un sentiment doux amer que je finissais ma nuit de travail. Les jours qui suivirent furent un supplice. Mes pensées étaient toutes dirigées vers Arnaud et je ne savais que penser quant à son comportement à venir. Allait-il me repousser comme un hétéro qui a commis une erreur ou allait-il accepter l’évidence d’un plaisir partagé. Le vendredi soir, je me dépêchais pour assurer rapidement mon travail et avoir du temps à accorder à Arnaud pour une conversation, ne pouvant rester dans l’expectative. Je fus soulagé de le voir arriver souriant. Il ne semblait pour autant pas détendu. Je lui proposai un café comme prétexte à une discussion. Il m’avoua n’avoir jamais eu de rapport avec des hommes ni même avoir trompé une seule fois son épouse ; il était donc ébranlé par nos ébats et surtout par le plaisir qu’il avait éprouvé. Par ailleurs, il exprima son étonnement quant à la vigueur que je donnais lors de mes étreintes. Je lui expliquai alors que ce n’était pas la règle mais que j’avais tellement fantasmé sur lui et qu’une fois lancé je n’avais pu me contrôler, j’avais été comme possédé ! Il écouta mes dires avec une rougeur charmante aux joues. Rassuré, je le suivis. Aucun de nous n’était dupe de la tournure des évènements à venir. Une fois dans l’intimité de la lingerie, nous nous embrassâmes tendrement, nos langues ...
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