Martin et Caroline... et Louis (2)
Datte: 10/05/2018,
Catégories:
Divers,
Je passai les quelques journées qui me séparaient encore de la rentrée à me masturber sans cesse, en repensant à cette scène de jouissance absolue. J’avais le sentiment d’être un homme nouveau, d’avoir atteint une sorte de paradis où mes désirs n’auraient plus besoin d’être réprimés. En contrepartie, une gêne s’était installée et je n’avais communiqué ni avec Caroline ni avec Louis depuis cette soirée bénie. Seule Manon squattérisait de mes états d’âme et me faisait connaître les siens. Les premières fois, alors que mon souvenir était encore frais, mes orgasmes étaient très puissants, et mon excitation très vive. Cependant, je ressentis après quelques éjaculations le besoin de quelque chose en plus de ma seule mémoire, quelque chose qui puisse réveiller les merveilleuses sensations que je venais de découvrir. Après quelques hésitations, je décidai d’enduire un doigt de salive et de le glisser entre mes fesses en me masturbant. L’idée de jouer de nouveau avec mon cul réactiva mon excitation, mais j’avais maintenant envie d’aller au bout. J’entrai mon doigt en entier : drôle de sensation, mais rien de comparable à la queue de Louis. J’ajoutai un deuxième doigt : c’était mieux. Je me branlai ainsi le sexe et le cul quelques dizaines de secondes avant d’ajouter un troisième doigt dans l’espoir de faire renaître l’intensité que j’avais connue avec Louis et Caroline. C’était plus fort mais la forme était moins agréable que celle d’un pénis. Je continuai malgré tout jusqu’à ...
... l’éjaculation. Quand l’excitation revint un peu plus tard, je devins obsédé par l’idée de retrouver la sensation précise de la présence d’une queue en moi. Je considérai les objets de ma chambre et de ma salle de bain avant de me raviser : il me fallait absolument un sex toy adapté, pour faire les choses bien. De plus, il serait excitant de posséder un tel objet et de devoir le cacher. Après une rapide recherche Internet à la recherche d’un sex shop, je sortis de chez moi avec un sac à dos et le cœur battant fort. Quelques trajets de bus plus loin, me voici devant le magasin. Je vérifiai que personne ne me vît entrer et m’engageai dans la petite boutique. Après avoir salué timidement le vendeur et scruté la salle, je me dirigeai vers l’étagère dédiée à ce que je cherchais. Au milieu des DVD et des costumes étranges, il n’y avait pas beaucoup de choix ; cependant, un modèle retint mon attention. Il avait une forme imitée de la réalité, avec un gland et des veines, et la couleur de ma peau, mais était légèrement plus petit que le sexe de Louis. J’allais le saisir quand j’aperçus un autre modèle à la forme plus simple, noir comme du caoutchouc et plus gros, celui-ci, que le sexe de Louis. Était-il raisonnable d’en prendre un aussi gros ? Mais si je prenais l’autre, ne risquerais-je pas d’être frustré et de regretter mon choix ? J’étais en pleine hésitation quand la voix du vendeur me fit sursauter : "Je peux vous aider ?" Surpris et rouge de honte, je m’empressai de saisir le modèle ...