1. Même pas cap'


    Datte: 11/05/2018, Catégories: grp, hplusag, fplusag, jeunes, frousses, rousseurs, copains, Collègues / Travail piscine, jardin, boitenuit, danser, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, intermast, Oral pénétratio, Partouze / Groupe jeu, yeuxbandés, totalsexe, occasion,

    Tout a commencé par un défi puéril, du genre « même pas cap’… » Par une douce soirée d’été, j’étais attablé avec Maud à la terrasse d’un restaurant d’une cité balnéaire, devant les reliefs d’un gargantuesque plateau de fruits de mer. Les vertus aphrodisiaques des crustacés, combinées aux effets enivrants des deux bouteilles de muscadet qui les avaient accompagnés, avaient fait monter la température de mon « excitomètre » qui s’étirait de plus en plus douloureusement dans la prison de mon jean. Nous étions collègues depuis plusieurs années, mais n’étions devenus amants que depuis une quinzaine de jours. À trente-cinq ans, Maud venait de se séparer d’un mari volage et, pour ce qui me concerne, après vingt ans de mariage et des enfants volant enfin de leurs propres ailes, mon épouse et moi avions décidé de reprendre notre liberté et profiter de la fin de la quarantaine en célibataire. Un soir, à l’occasion d’un repas offert par la boîte, nous avons pleinement adhéré à l’objectif de « team building » encouragé par la direction, et nous avons terminé la soirée dans mon lit, histoire d’approfondir encore davantage cet esprit de corps si cher à nos employeurs. Depuis cette soirée, nous étions comme deux adolescents, profitant de ce que leurs parents ont le dos tourné – ou, dans le cas présent, que leurs collègues soient hors de vue –, pour nous découvrir avec passion, pimentant nos rencontres furtives d’un délicieux sentiment d’interdit. Ce soir-là, sur la terrasse, Maud portait ...
    ... une petite robe d’été assez ample, m’offrant une vue admirable sur les généreuses rondeurs de ses seins et sur les dentelles roses du soutien-gorge dans lequel ils se balançaient voluptueusement. Son rire chantant, l’éclat pétillant de ses yeux verts, et le rayonnement intense qui émanait de son corps tout entier, m’avaient littéralement transporté tout au long du repas. — Chiche… Je venais de la mettre au défi de se débarrasser de ses sous-vêtements, là-même, au milieu de la foule grouillante qui profitait de cette chaude soirée sur les terrasses environnantes. J’ai toujours admiré le talent des femmes à dénuder leurs parties les plus intimes sans révéler le moindre centimètre carré de chair. Cet élégant mouvement de hanches, de mains et d’épaules avec lequel elles parviennent à faire disparaître, comme par magie, leur petite culotte ou leur soutien-gorge, m’a toujours laissé béat d’admiration, et en même temps, frustré de ne pouvoir, durant ce bref effeuillage, découvrir la moindre parcelle de leurs trésors dénudés. — Et, qu’est-ce que j’y gagne ? Elle aurait pu éclater de rire, me traiter de vieux cochon, me faire comprendre que l’exhibition n’était pas trop son truc. Mais ses yeux brillants et son sourire complice m’ont tout de suite rassuré, augmentant brutalement ma raideur priapique. — Moi ! Cette fois, elle a vraiment éclaté de rire, au point que la moitié de la terrasse s’est tournée vers nous pour essayer de découvrir la source de cette hilarité aussi soudaine que ...
«1234...16»