Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (17)
Datte: 11/05/2018,
Catégories:
Trash,
... sur la manipulation de ce petit monstre dans mon vagin, quand mon excitation croît inexorablement. Il ne tarde pas à s’en rendre compte : « Laisse-moi faire, ma chatte ! Et laisse-toi emporter par ton plaisir ! Sûrement que tu trouves bien cochon ce que je te fais faire, mais je vois que ça t’excite comme une folle ! » Boris saisit l’extrémité du concombre et reprend les va-et-vient dans mon vagin. Au début, il va doucement, mais entraîné par mon excitation grandissante, il se met à me pistonner un peu brutalement : « Ma belle salope ! Tu aimes te faire défoncer par un gros concombre, hein ? Et ça te rend folle ! Si tu voyais combien tu es excitée, ma jolie petite pute ! » C’est vrai qu’adossée à l’arbre, je ne me contrôle plus : je halète, je gémis, je glousse, je crie. Je me fais ramoner le vagin par un légume et j’adore ça. Et les frottements causés par les rainures ne font qu’amplifier mon excitation. Je me sens devenir folle. Je sens la cyprine mouiller ma vulve. Ça monte, ça monte. Boris me ramone le con comme un fou et tout explose : je lâche un gloussement rauque, presque bestial, mon bas ventre s’embrase, je vois les étoiles. Le concombre toujours enfoncé n’empêche pas la cyprine de s’écouler. Je viens de connaitre un monstrueux orgasme. Les yeux mi-clos, je me laisse glisser le long du tronc pour m’assoir. Boris en profite pour retirer le concombre de ma chatte et le pose à côté de moi. Je me sens un peu essoufflée, je suis mouillée de transpiration. Jouir aussi ...
... fort avec cette chaleur… Puis il m’apporte une petite bouteille de coca : c’est tiédasse, pas terrible, mais je bois goulûment, tant j’ai soif. Au bout d’un moment, je me lève ; je me sens sale, en sueur. « On va aller à la rivière ! On devrait trouver encore de l’eau même à cette époque ! » Boris, prévenant, me prend par la main. Il me voit emporter le concombre. Simple souci d’ordre pour moi. Lui, imagine peut-être autre chose ! L’intérieur de la voiture, pourtant en partie l’ombre, est très chaud. « Démarre vite ! Avant que je ne rôtisse ! » Ma demande l’amuse : « Hummm ! Tu dois être délicieuse ainsi ! Bon, on va reprendre la route, et 5km plus loin on arrivera à un pont qui enjambe la rivière. On laissera la voiture et on ira s’installer sous le pont, près de l’eau et, bien à l’ombre ! » Dix minutes plus tard, on traverse le pont et la voiture stoppe juste après, sur un petit parking en terre. Le lit de la rivière doit faire une dizaine de mètres de large, mais c’est à peine plus qu’un ruisseau qui coule, en cette saison. Pour atteindre le dessous du pont, nous descendons la pente. Dessous, il y a une banquette de pierres qui court sur toute la largeur du pont. On s’y assoit un moment. Boris a toujours son sac. Je me lève. Le ruisseau fait à peine deux mètres de large et la profondeur ne dépasse pas 50 centimètres. L’eau est bonne. Je m’assois carrément dedans, laissant l’eau couler sur mon corps. C’est agréable. Je mouille mon visage. Je reste plusieurs minutes ainsi, ...