1. Les expériences sexuelles des soeurs Ukazovà (17)


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Trash,

    ... m’agenouiller plus facilement. Les deux hommes sont face à moi, debout. Environ quarante ans, bien tenus. Je suis, malgré tout, un peu stressée. Ils défont leurs braguettes et me voici face à deux pines de taille moyenne, braquées sur mon visage, tels deux canons de revolver. Ils commencent à se masturber, avant de s’interrompre et d’interpeller Boris : Ils aimeraient que je fasse la même chose, sans doute pour les accompagner. Mon clitoris a été bien sollicité, mais je ne peux refuser et avec l’index et le majeur, je me mets, doucement à astiquer mon bouton d’amour. Les deux glands décalottés sont à quelques centimètres de mon visage, mais je sens leurs regards pesants sur mes seins. Je commence à être excitée, du fait de ma masturbation. Quant à eux, ils respirent plus fort, halètent, ils sont congestionnés au moment où leur semence gicle. Eux aussi ont dû se réserver ! Chacun d’eux dégorge bien trois fois. J’en ai partout : sur les joues, le menton, le nez, les lèvres, le front, les cheveux…et le trop plein dégouline lentement sur les seins. Ils se reboutonnent, satisfaits, avec un petit pourboire : me tripoter les seins. Ils devaient en mourir d’envie ! Je me relève, le visage gluant de leur foutre. Ils veulent la suite, sans me laisser le temps de me débarbouiller. Ce qui m’ennuie, surtout, c’est que depuis un moment, ma vessie m’asticote et je voudrais bien me soulager tranquillement : « Boris, je suis désolé de devoir te dire ça, mais j’ai envie d’aller aux ...
    ... toilettes… de pisser, quoi… » Je vois bien qu’il est lui-même embarrassé, par la présence des deux types, mais c’est lui qui a été les chercher, non ? Finalement, alors que mon envie presse, l’un des deux types trouve la solution, et quand Boris –qui doit traduire à chaque fois- me l’annonce, je suis abasourdie : « Ils disent qu’ils ne peuvent pas attendre autant, et que le plus simple, c’est que tu pisses tout en te faisant lécher par le chien ! » « Tu imagines ce qu’ils veulent ? C’est bien sale, non ? À moins que tu ne désires que j’expérimente cette grosse cochonnerie, pour savoir si je suis la plus vicieuse de toutes celles que tu as pu emmener en promenade ? » Boris est si gêné que je trouve ça comique, et que j’en arrive à sourire : « De toute façon, j’ai trop envie de pisser ! Finissons-en ! Où est le chien ? » Ils amènent un labrador au pelage blanc et roux, tandis que Boris me fait assoir sur la banquette, les fesses près du bord, les cuisses bien écartées. Je me sens sale : le sperme sèche sur mon visage et tire un peu. Le labrador est face à moi, sa tête à la même hauteur que mes cuisses. Je ne suis pas à l’aise, je regarde le chien. Est-ce mon regard ? On dirait qu’il devine mon inquiétude… et vient me lécher un genou, comme s’il voulait me rassurer : « Allez, viens le chien, viens ! » Malgré mon trac, j’essaie de l’attirer entre mes jambes. En même temps, l’envie de pisser devient irrésistible. Je lâche un premier jet, tandis que la voix de Boris se fait entendre : « Ne ...