Mes dernières grandes vacances (2)
Datte: 11/05/2018,
Catégories:
Divers,
« Mon cher beau-frère, il me semble que nous venons de faire une adepte du cul en la personne de ma chère petite sœur. » « Je crois aussi ou elle est morte asphyxiée. » « Non, j’adore, oui j’adore lécher son cul de ce salaud » qu’elle nous crie, la petite sœur. D’une main, j’écrase sa tête sur mon anus, l’obligeant à pénétrer mon cul de sa langue. Très vite, je sens cette langue frétiller dans mon rectum et j’explose de bonheur, entrainant Gisèle avec moi. Je me couche sur elle, ma tête sur sa poitrine très avantageuse. À poil, je me dégage de ces deux femmes et plonge dans l’eau fraiche de la piscine. Après quelques brasses, je ressors, couche Manon sur mes cuisses et, avec l’approbation pervers de ma belle-sœur, je la fesse copieusement en ne manquant pas d’insinuer mes doigts dans ses orifices. Gisèle agenouille près de moi, assise sur ses talons, elle m’embrasse pour m’encourager à y aller plus fort encore. Comme mon frère me précise-t-elle. Manon cherche à me fuir, mais plus je malaxe son sexe, plus je fesse, plus sa muraille s’effrite. Sa résistance faiblit, son corps se tend lentement. Elle va jouir, c’est sûr. Gisèle m’encourage verbalement. Que c’est bon de fesser une fille de son âge ou plus âgée, hein Gisèle ! Soudain, Manon parvient à se retourner sur le dos, sa main entre ses nymphes et jouit en me fixant droit dans mes mirettes. Je me penche, l’embrasse, lui dis qu’elle est superbe dans l’orgasme. Je caresse sa vulve gonflée de désir, masse ses seins. Je veux ...
... encore la faire jouir. Cela ne tarde pas, elle repart quelques minutes après et de plus belle. Je me couche sur l’herbe, bras en croix, remerciant le ciel de ce présent. Dans la salle de bain, je prends une longue douche bien fraiche et, nu, je rejoints mes deux gourgandines qui s’adonnent à des plaisirs autrement plus saphiques. Je les regarde, je détaille chaque geste que l’une ou l’autre fait sur le corps de l’autre. C’est une pure merveille de les voir s’aimer, il en a de la chance le grand frère. Je commence à l’envier méchamment. Les deux femmes jouissent tellement fort qu’elles réveillent mon neveu. Je monte le prendre, il me tend ses petits bras, doux ange. Contre moi, il se calme. En bas, je trouve de quoi le changer. Pendant que je m’occupe de mon neveu, deux femmes me regardent faire. Deux mains viennent à mon secoure. Manon me montre, se plaçant dans mon dos. Elle guide mes mains, douce jeune femme. Je n’ai plus l’envie de quitter ce paradis, plus jamais. Manon se montre bonne institutrice. Dans sa couche, Grégory rigole quand je le caresse. Ma merveilleuse belle-sœur se glisse devant moi, me fixe, m’enlace, m’embrasse. Pour un peu, je voudrais la coucher près de mon neveu et la baiser comme une…non, comme une femme. Plus tard, alors que dehors la chaleur devient insupportable, on est dans le salon à manger une bonne salade bien fraiche que j’ai faite selon la recette de ma défunte mère. À les voir manger, elle doit être excellente ou elles sont une faim de loup. Je ...