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Première fois mutuelle (1)
Datte: 18/07/2017, Catégories: Hétéro
... nectar après lui avoir retiré sa culotte jaune. Gaëlle a passé sa main dans mes cheveux avant de me renverser à son tour puis de me prendre dans sa bouche en me retirant pantalon et slip. Une fois fait, Gaëlle m’a à nouveau chevauché. J’étais nu, elle n’avait que sa jupe et c’était terriblement excitant. J’ai passé une main sous sa jupe pour prendre ma hampe en main et la frotter entre ses lèvres intimes pendant qu’elle refaisait son mouvement de hanches. Je tentais d’entrer en elle mais Gaëlle veillait à ce que je n’y arrive pas. C’était tout de même très agréable. Mais devant l’agilité de ma partenaire, j’ai penché un peu mon érection et j’ai commencé à glisser entre ses fesses. « Non, par là non plus ! » Je lui ai souri avant de la laisser faire. Elle montait et descendait le long de ma colonne de chair alors que je la serrais dans mes bras. Puis elle m’embrassa dans le cou en m’entourant de ses bras. « J’ai envie de toi mon trésor... J’ai envie de te faire l’amour comme tu m’as fait l’amour ce matin ! » Je n’ai pas hésité longtemps et j’ai mis un préservatif. Gaëlle m’a pris dans sa main et m’a fait rentrer en elle avant de se laisser glisser doucement. Ce coup-ci, pas de blocage étroit et comme Gaëlle était beaucoup plus mouillée que le matin, je glissais en elle avec une facilité déconcertante. Elle semblait prendre plus de plaisir et j’en étais ravi. Elle sautillait sur moi et sa respiration était aussi profonde que bruyante. Et quand elle ne sautillait pas, elle ...
... faisait un mouvement de hanche qui me régalait. Si je n’avais pas éjaculé deux fois le matin, j’aurais très certainement joui à ce moment-là. Gaëlle perdait peu à peu le contrôle d’elle-même et elle me serrait de plus en plus dans ses bras. Ses baisers étaient également plus profonds et cela me mit dans un profond émoi. Et puis Gaëlle a commencé à ralentir son rythme infernal et elle s’est blottie dans mes bras comme soudainement apaisée, la tête sur mon épaule et ses mains dans mon dos. Je me suis alors mis sur mes genoux en la prenant par-dessous les cuisses. Elle s’est accrochée à moi et j’ai commencé à aller et venir en elle. Gaëlle s’est remise à soupirer doucement à chaque coup de reins et je la sentais se resserrer puis se relâcher autour de mon sexe tendu. Je sentais mon plaisir monter devant tant de bien-être. Quand nous nous sommes embrassés, j’ai explosé de bonheur et mon plaisir a résonné dans la bouche de Gaëlle. Nous nous sommes effondrés dans les bras l’un de l’autre, vaincu par un plaisir plus grand que celui du matin. Dans les jours, et même les mois, qui ont suivi, nous avons appris à nous connaitre de ce point de vue-là, à savoir ce que l’autre aimait et n’aimait pas. Ça aurait pu continuer très longtemps avec Gaëlle si je n’avais pas déconné. C’est entièrement ma faute. Il y a eu sa mère, puis sa tante sans qu’elle ne le sache. Il y a ensuite eu Heidi, sa petite sœur, à qui j’ai également pris le pucelage le jour de ses 18 ans. J’ai eu une relation suivie avec ...