1. Béatrice se dévoile


    Datte: 11/05/2018, Catégories: fh, 2couples, fplusag, hagé, jeunes, extracon, caférestau, boitenuit, noculotte, Oral init,

    ... incompréhension. Mais comme je ne disais rien, il poursuivit : — Béatrice, voyons ! J’espère qu’elle te plaît et que tu t’occupes bien d’elle.— Oh oui, chéri, il est parfait ! Un peu sur la réserve, mais parfait. Je lui ai proposé de rester le week-end avec nous, mais il hésite. Aide-moi à le décider.— Marc, il faut que tu restes. Je te le demande instamment. J’ai besoin de toi…— Besoin de moi ? Mais…— Oui, pour que tu t’occupes de ma femme, et que je puisse m’éclater de mon côté. Si tu pars, ça va complètement déséquilibrer notre week-end.— À propos de déséquilibre, chéri, tu es seul ?— Eh oui… La fille qui devait m’accompagner m’a fait faux bond au dernier moment pour une sombre histoire. Je pense qu’elle a eu peur quand elle a su que tu étais là.— Ah bon, parce que tu lui as dit ça d’emblée ? D’habitude, elles le découvrent au dernier moment et ça leur est difficile de reculer.— Oui, mais j’en ai marre des réactions de dernière minute et de devoir ré-apprivoiser la fille pendant deux heures ensuite.— Comment vas-tu faire ? Qui vas-tu trouver ?— Bah ! Ici, il y a plein de femmes qui ne demandent que ça. Mais je préférerais une jeune fille ; c’est peut-être plus rare… Marc, tu ne connais pas une jolie fille qui cherche un partenaire dans le coin? Hé, mais jeune, hein ! 25 ans maxi !— Ben… En fait, je ne connais pas grand-monde, ici. Je ne suis pas de la région et j’ai tout de suite rencontré Béatrice…— Menteur ! Tu avais bien dragué une minette avant de me trouver. ...
    ... Rappelle-toi : elle est même venue te relancer alors que nous dansions collés-serrés sur la piste…— Ah oui ! Christine… Mais je ne sais pas où elle est, et puis elle doit m’en vouloir de l’avoir envoyée promener quand elle est revenue…— Elle devait drôlement tenir à toi pour te relancer de la sorte.— Tu avais déjà fait les travaux d’approche ? Un peu mis la main aux fesses ? demanda Charles-Henri qui semblait intéressé.— Ouais, même un peu plus…— Jolie ?— Disons, pas mal !— Pas trop farouche ?— Non ! Ça pas vraiment, non, dis-je en souriant.— Tu crois qu’elle est là ? Si oui, rends-moi service : trouve-la, drague-la pour moi et ramène-la. Pendant ce temps, je te garde ma femme pour qu’on ne te la prenne pas ! ajouta-t-il en rigolant. Un peu étourdi par ce maelström et par le rôle qu’on me faisait jouer, je me levai et je partis à la recherche de ma première cavalière. Ce n’était quand même pas pour que je serve de rabatteur à son mari que Béa avait voulu que je reste ? Décidément, ils étaient un peu bizarres, ces gens-là. Sympas, mais bizarres… Il me fallut un certain temps pour la repérer en train de danser avec un jeune blondinet dont la tête lui arrivait au niveau des seins et qui ne semblait même pas en profiter. Je lui tapai sur l’épaule. Elle fit faire un demi-tour sur place à son cavalier, et me délivra un grand sourire en m’apercevant. — Marc, c’est toi ? Tu as lâché ta vieille? Que veux-tu ?— J’ai quelque chose à te dire ; tu danses ?— J’arrive. Excuse-moi, Olivier, un ami… ...