Fariza, la voisine
Datte: 11/05/2018,
Catégories:
Anal
Mature,
Inceste / Tabou
... première fois, puis une deuxième fois et mit au monde deux garçons qui sont devenus le centre de sa vie. Elle s’était prise d’amitié pour ma mère, qui lui avait ouvert très large les portes de notre maison et qui lui prêtait son épaule secourable sur laquelle elle avait déposé des tonnes de larmes ! Elle venait pratiquement tous les jours chez nous ; à peine son mari sorti pour rejoindre son échoppe, elle accourait chez nous pour papoter avec ma mère. Moi, trop jeune, je n’avais jamais réellement fait attention à elle.Ce n’est que bien des années plus tard, à un âge plus avancé où les démons de la sexualité s’insinuaient en moi, sans rien pour les satisfaire, que je regardai ce petit bout de femme avec plus d’attention. Je devais avoir dix-huit ans quand pour la première fois je sentis mes sens vibrer pour elle. J’avais l’habitude, depuis que je la connaissais, de lui faire la bise quand je la rencontrais à la maison. C’était pour nous naturel qu’un enfant embrasse une parente quand il la rencontrait ; et ma mère exigeait qu’on la traitât comme une parente. Ce jour-là, je n’avais pas cours et je m’étais donc levé assez tard. J’allais dans la cuisine où je savais trouver ma mère qui allait me servir mon petit déjeuner. Ce matin-là elle n’était pas dans la cuisine ; elle avait à faire dans la salle de bain. Dans la cuisine il n’y avait que Fariza que ma mère avait chargée de me servir mon petit déjeuner. Quand je l’ai vue seule, je ne pus m’empêcher de l’observer avec ...
... attention et de remarquer qu’elle était désirable dans sa tenue d’intérieur toute simple (une robe légère en coton, qui lui arrivait à mi mollets, et qui moulait légèrement son corps, laissant deviner, plus qu’elle ne montrait, de délicieuses rondeurs). Comme à mon habitude, j’allais lui faire la bise. Mais cette fois, il ne s’agissait plus d’une des bises innocentes qu’un neveu pouvait faire à sa tante, mais d’une bise qui dérapa insidieusement vers le coin de sa bouche. Le contact avec ses lèvres mit le feu à mon corps. J’en sentis immédiatement l’effet sur mon bas ventre et mon sexe. Elle me regarda étonnée, et pensa certainement que c’était un baiser accidentel.Plus rien ne se passa entre nous, jusqu’au départ de mes parents, ou de temps en temps elle venait voir si l’on ne manquait de rien (une recommandation de maman !) et jetait un regard réprobateur au défilé permanent de nos copains et copines. A chaque fois, je jouais à chercher ses lèvres en lui faisant la bise traditionnelle et à chaque fois elle retirait vite sa tête pour faire échouer la manœuvre. Mais jamais, elle ne rouspétait, ni ne disait rien, pour me faire cesser ce jeu puéril. En dehors de cela, rien ne se passa entre nous jusqu’à mon entrée en fac. Les horaires de l’université n’avaient rien à voir avec ceux du lycée qui étaient stricts. Mes matinées étaient souvent libres et j’en profitais pour dormir tard et me réveiller tard. Le matin, je me retrouvais toujours seul ; tous les autres sortaient tôt.Ce matin-là ...