Mister Hyde - 19
Datte: 12/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... sa mission avec succès. Sans attendre, il s’enfila en elle comme du fil dans le chas d’une aiguille. – Nous allons te prendre dit-il à son oreille. Tous les trois, ensemble. Nous allons te bourrer la bouche, le cul et la chatte jusqu’à ce que tu ne puisses plus marcher, plus t’asseoir, plus parler. Tu vas être notre garage à queues et ta gorge notre grenier à foutre… Et tu vas aimer ça petite pute. Hein que tu vas aimer ça… ? Malgré le collier qui entravait sa gorge et bloquait en partie sa trachée, elle réussit à articuler un « Oui Maître » passionné. L’excitation, qui était en train de la déserté venait de remonter en flèche. « Voilà pourquoi je suis à lui et à personne d’autre ! » se dit-elle. Elle pensa à la bouche chaude de Julie sur sa vulve et sur son clitoris mais même elle, n’avait pas été capable de l’emmener aussi loin dans le plaisir et l’interdit. « Ce ne sont pas ses mots qui me poussent à lui obéir, c’est sa voix, c’est les sons qu’il profèrent. Je suis comme une chienne sensible aux seuls ultrasons émis par son Maître… » Et, tandis qu’il la besognait, elle se répéta en boucle : « Je suis sa chienne, sa chienne, sa chienne… » *** Elle était au bord de l’extase quand il cessa de la limer. L’arrêt fut brutal, tout comme le mouvement que Frédéric imprima à la laisse pour la jeter à quatre pattes. – Marc ! Encule-là ! ordonna-t-il Marc, sans prêter attention au ton péremptoire de son compagnon de débauche, s’exécuta. Les genoux fléchis, il s’enfonça en elle d’un ...
... coup puissant. Elle poussa un cri de douleur aussitôt réprimé d’un coup de martinet appliqué sur son dos. – Julien ! Bâillonne-la ! On n’a pas besoin de subir ses cris de truie. Julien avait un bâillon tout trouvé, il le présenta face à la bouche de Frédérique qui le happa. Une caresse, du sommet du crâne jusqu’au bas de son dos et aussitôt après, une méchante claque sur ses seins qui ballottaient au rythme infernal imposé par le vit de Marc. La douleur fut insupportable, elle éjecta Julien de sa bouche. Un autre coup, et un troisième. Puis la voix au ton mordant : – Concentre-toi ! Tu dois pouvoir tout supporter sans t’arrêter de sucer. Tu es là pour notre plaisir, pas pour beugler comme une vache ! Elle emboucha la bite de Julien, certaine d’avoir déçu son Maître. *** Marc la pilonnait toujours et Julien s’enfonçait si profond dans sa gorge qu’elle pensa qu’ils allaient se rejoindre, tels deux foreuses lors du percement d’un tunnel. C’était bon, terriblement bon mais incomplet. Frédéric oubliait la promesse susurrée quelques minutes plus tôt. Il était encore là, bien sûr et il s’occupait d’elle en dirigeant ses deux tourmenteurs mais, il n’était pas là, c’est-à-dire pas en elle. L’attention de Frédérique se délita, tout comme l’engagement de Frédéric. Bientôt, elle ne fut plus qu’une poupée ballottée par deux courants contraires. Prédateur, Frédéric guettait ce moment d’abandon, cet instant magique où l’esprit, trop plein de ses propres déboires s’exonère du présent et, ...