1. Monseigneur Ildéfonse (2)


    Datte: 12/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Une fois, ma servante partie, l’Évêque remarque : — tu as une servante bien avenante et très belle, je t’envie. — C’est vrai qu’elle est belle et avenante, c’est d’autant plus dure pour moi, c’est une pénitence permanente de refréner mes pulsions. — Et elle, ce n’est pas trop dur d’avoir un jeune curé alors qu’elle vient de rentrer dans l’âge canonique ? — Votre Excellence m’indispose, je ne suis pas son confesseur, ce serait pas correct. — Avez-vous déjà couché ensemble ? — Je confesse que nous avons déjà eu des rapports pas très catholiques. — Voilà pour pénitence, tu me la prêteras pour cette nuit, cela fait longtemps que je fais également pénitence. — Mais, je ne connais pas ses sentiments à votre égard ! Je vous laisse la convaincre et nous n’avons pas de préservatifs. — Sur ce point-là je suis prévoyant et quand j’ai appris que tu avais une super servante, j’ai pris mes précautions. — Je vois que mon copain qui est venu me visiter n’a pas su tenir sa langue. — Eh oui, nous sommes très intimes, il ne me cache rien. OOOO0000OOOO — Voila mes seigneurs, le souper est prêt. Je vais m’occuper de votre chambre. — Justement, fait l’Évêque, il y a des modifications. Comme je suis très frileux et qu’il fait relativement froid dans cette cure, j’ai besoin de quelqu’un qui me tienne chaud. Tu viendras réchauffer ma couche. — Mais Excellence ... — Cela ne te plaît pas ? — Non, enfin oui, ce n’est pas ce que je voulais dire, mais Monseigneur Ildéfonse... — Il est en pénitence, mais ...
    ... s’il a trop froid pendant la nuit, il pourra aussi venir se réfugier dans notre sainte chaleur, une fois que je l’aurai bien allumée, pour que nous le réchauffions à son tour. — Si je comprends bien, vu que nous n’avons que deux lits et que vous voulez sauver l’âme de Monsignore Ildéfonse en ne le soumettant pas à la tentation, vous sacrifiez la vôtre en me tenant compagnie cette nuit ? — Tu as tout compris, mais vu le sacrifice que je consens, j’espère que tu y seras à la hauteur. Mon goupillon n’est plus aussi alerte qu’autrefois, il a besoin de soins attentifs et chaleureux. — Que votre Excellence ne se fasse pas de soucis, cela fait un mois que nous nous améliorons. — Comment cela ? — Monseigneur courrait après la mort, son poêle était mort, Toussant, tremblant de froid, transi jusqu’aux os, il m’a demandé de le soigner. Je n’ai eu d’autres ressources de lui réchauffer tant l’âme que le corps. Évidement, couchée à côté d’un jeune corps très viril, après des années d’abstinence, à cause d’un mari qui préférait dépenser notre écot avec les femmes de mauvaises vies que de faire son devoir familial, et qui les rares fois où il le faisait, me laissait encore plus insatisfaite, je n’ai, à ma grande honte, pu résister de profiter de son goupillon. Une fois le pas franchit, ce fut régulièrement que nous avons pris grand plaisir l’un de l’autre. — Mon enfant, pour ce dévouement à notre sainte cause, je vous donnerai votre absolution cette nuit, car moi aussi je suis transi et j’ai ...
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