1. Baise-moi devant mon mari ! 3


    Datte: 13/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... D’une droite il a allongé le coach, puis l’adjoint de ce dernier qui est venu en renfort. Les deux se sont retrouvés K.O devant les minots. Quand le coach a repris connaissance la première chose qu’il a dit c’est : « attends ! Je vais appeler mes gars qui habitent ici. T’es morts ! » Il s’est mis à téléphoner. Tout le monde a conseillé au corse de s’en aller. On l’a emporté dans une voiture. Une quinzaine de minute plus tard les sauvageons du coachs ont déboulé. Ils avaient des battes de baseball, des sabres, des cailloux, tout ça contre un seul homme. Comme ils n’ont pas pu choper le type, ils se sont défoulés sur le mobilier. Ils ont tout cassé. Dès que la gendarmerie a débarqué ils se sont enfuis. C’est l’histoire de trop qui a fait en sorte que le district annule pour de bon les championnats en U13. Trop de tension. -Hé bein ! J’ai pas souvenir d’une violence similaire, en tout cas à l’époque où je jouait encore au tennis. - Y’a trop d’argent dans le foot. C’est ça qui rend les gens fous. Nous restâmes silencieux. D’habitude lorsque je cause avec une personne et que le silence s’installe, cela me gène, mais là, sur le moment, avec Romain, je me suis sentie bien, la dopamine du sport y était peut-être pour quelque chose. Nous avons couru pendant une quarantaine de minutes, à causer de tout et de rien, à ne pas voir le temps passer, à ne pas sentir la fatigue s’installer. Au final Romain m’a conseillé de marcher encore une dizaine de minute après la fin de mon footing sur ...
    ... le tapis de course. Ensuite il m’a accompagné aux vestiaires. Comme c’était les vestiaires pour femmes il est resté à la porte. Je voulais qu’il entre. Mais il est demeuré devant la porte. Il transpirait un peu du front, ses pectoraux ressortaient sous son débardeur, ses abdos aussi, à la devanture de son jogging son pénis gonflait à vu d’œil. Je voulais qu’il entre, qu’il ferme la porte derrière lui, qu’il déchire mes habits, qu’il me viole, qu’il mélange sa sueur à la mienne en se foutant de tout ! Mais il a seulement parlé de loin en s’appuyant contre l’encadrement de la porte : « Madame je voudrais faire plus amplement connaissance avec vous. Acceptez-vous de diner avec moi un de ces soir ? » Ma tête tournoyait. Je crois que j’ai répondu oui. Je crois. Nous nous sommes rendus dans le nord pour assister au baptême de l’enfant de ma sœur. C’était l’occasion de revoir la famille, de se rendre compte qu’on a vieilli, un peu pour certains, beaucoup pour d’autres, de découvrir les nouveaux membres de la famille, d’évoquer la mémoire de ceux qui nous ont quittés trop tôt. Pendant la durée de notre séjour, un week-end, pour des raisons de discrétions, j’ai autorisé Sylvain à enlever sa cage de chasteté. Si quelques unes de mes copines savent que je domine mon mari personne en revanche de ma famille ne le sait. Je trouve que c’est bien comme ça. J’allais oublier ! Pendant que nous étions là-bas, le copain d’une de mes nièces m’a regardé avec insistance, je crois qu’il regardait ...