Eric et sa maman (3)
Datte: 14/05/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... existe de par le monde plein de jeunes femmes qui attendent un amoureux ? Tu es beau, bien bâti, tu devrais faire la cour à une gentille fille, lui présenter tes qualités... — Ouais, j’ai essayé hier avec la voisine quand qu’elle revenait du marché, j’y ai dit que ma bite était aussi grosse que le concombre qu’elle avait dans son cabas. Résultat, elle m’a claqué une beigne. Maman elle soupire en levant les yeux au plafond. Elle secoue la tête avant d’enlever sa robe, que dessous elle a juste ses dessous. Et quand elle les enlève, elle est nue, sauf qu’elle a gardé ses bas et ses chaussures. Alors elle est pas nue, non ? Merde, ça me fait mal aux boyaux de la tête quand je réfléchis à des trucs compliqués. Je me gratte la tête que je suis perdu. — Eric, au lieu de faire ces yeux de merlan frit, fais-moi l’amour. Je ne puis céans supporter de te voir les gonades engorgées et le cerveau vide. Pour le cerveau, je n’y puis guère, mais pour le reste... Glup ! lvxlyyhe J’y ai fourré ma bite bien profond pour la faire taire. Elle s’applique et me pompe si fort que j’envoie la purée en trois minutes, mais je débande pas et je la retourne et je lui demande dans quel trou que j’y mets. — Alors, maman ? Dans quel trou que j’y mets ? — Qu’importe, fais-toi plaisir. Tu seras mon Oedipe, et moi ton Agrippine ! Y a pas, elle est chaude si elle s’agrippe à ma pine ! Je sais pas trop de quoi elle parle, mais je l’encule à fond. Elle est vachement plus souple qu’avant, preuve que son mec passe ...
... souvent dans son cul. Je la pilonne comme un furieux en claquant son gros cul et je la remplis de mon jus à moi en gueulant. Vite fait, maman se rhabille. — Bien mon fils. Il faut que je parte, Decker m’attend pour explorer une cité ouvrière à Mantes, il semble que la demande y est pressante. Je suis très ouverte aux besoins plébéiens exogènes, comme tu le sais. Une longue file de clients attend ma venue, je pense être obligée de les recevoir à plusieurs à la fois. — Tu es une sainte, maman ! Tu vas réussir à contenter tout le monde ? — J’y passerai la nuit, mon fils. Ces gens-là ont de gros besoins, de très gros et très longs même, parfois. Après des journées comme cela, je finis épuisée, je ne te le cache pas. — Tu devrais demander à Sophie de t’accompagner, maman. — Certes, mais ta sœur a ses études ; elle est Normalienne et a beaucoup de travail, tu ne peux pas comprendre. — Dis que je suis une tête de nœud, tant que t’y es ! je râle. Sophie entre juste là et crie en me voyant à poil. — Salut m’man ! Salut Eric. Ciel, que fais-tu tout nu, le vit dressé tel le beaupré d’une fringante goélette dans une mer sans fond, par une nuit sans lune... Glup ! Ah les gonzesses de cette famille ! Pour les faire taire quand elles partent dans des délires, y a que ça ! Je l’ai mise à genoux pour lui fourrer ma bite bien profond, et voilà ! Sophie, passées dix secondes, suce bien et lèche mes grosses couilles. Je prends sa nuque et baise sa bouche, elle bave grave. Maman me demande de la ...