1. L'Equipe IX


    Datte: 19/07/2017, Catégories: Entre-nous, Les hommes,

    ... stimulation est si loin des sensations lorsque j'y ajoute une caresse anale, lorsque de mes doigts je joue de mes sphincters, à croire que je suis plus sensible, plus touché par un doigté qu'une belle branlette. Je n'avais aucune honte à m'astiquer la verge et me doigter le fion dans la douche, j'y prenais un malin et coupable plaisir, repensant à la soirée précédente, à Steves me faisant l'amour en compagnie de Rick... à ce trio chaud et endiablé que nous avions eu. "Je peux t'aider?" Mes yeux s'écarquillèrent, mon corps ce figea...Cette voix... Ma tète se tourna et je vis la porte de verre de la cabine de douche ouverte, il était là Steves, le grand rouquin. Depuis combien de temps était-il là? Là, à me regarder me doigter, me branler... Ma bouche s'ouvrit et j'allais protester mais il fit un pas en avant se glissa avec moi sous la douche, refermant la porte. Il ne me laissa pas le temps, il m'embrassa directement, pas un simple bisou de bonjour mais lèvres contre lèvres, sa langue pressant son chemin, cherchant ma bouche, ma langue, l'écrasant et lui montrant qui de nous deux menait la dance. Il m'embrassa ainsi longuement, ses mains glissant sur mes hanches sur mes fesses, les malaxant, les serrant, les écartant. Nos torses se frottaient l'un à l'autre et entrejambes aussi, je pouvais ressentir son érection contre la mienne. Lorsque nos lèvres se séparèrent je pus enfin regarder droit dans ses yeux, ils brillaient de malice, de désir. "J'en envie de toi, tourne toi." me ...
    ... soupira-t-il, mêlant à ses mots les gestes, il me fit tourner, m'appuyer contre la paroi carrelée. Steves se plaqua contre moi, contre mon dos, d'une main il faisait glisser son chibre dans la raie de mes fesses, pressant tout au long son gland gorgé de sang. Il plaqua alors sa main libre contre mes lèvres et de l'autre aligna sa verge sur ma rondelle. D'un coup sec de reins il força mes sphincters, enfouissant l'extrémité de ses vingt deux centimètres de chair en moi. Sa main sur ma bouche couvrit le cri de douleur et de plaisir que mes poumons poussèrent hors de moi. Il ne me laissa guère de temps pour m'adapter de si bon matin, poussant centimètre après centimètre en moi, appuyant sur ses pieds jusqu'à ce que ses couilles se pressent contre ma peau et qu'il ne soit entièrement enfoncé en moi. Heureusement que je m'étais un peu doigté sinon j'aurais hurlé de douleur, je le sentais si loin en moi, tressaillir et pousser mes propres entrailles sur le côté pour réclamer sa place en moi. Il resta presque une minute au fond de moi, ainsi sans bouger, me laissant m'adapter à l'intrusion, me faisant ressentir sa taille, sa puissance. De sa main sur ma bouche il poussa deux doigts entre mes lèvres, jouant d'eux avec ma langue, me faisant ressentir qui me dominait, qui me dirigeait et dans un certains sens, j'aimais cette sensation, je me sentais fondre sous sa coupe. Ses hanches finirent par rouler, son corps onduler. Ses lèvres agrippèrent mon cou, mordillant, suçotant alors qui ...
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