Christine (part 1)
Datte: 14/05/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
1984, Franck et moi avions 28 ans. Nous aimions le sexe et les plaisirs qu'il procure avec un petit coté exib qui nous excitait un peu, mais nous n'avions jamais imaginé trouver un autre plaisir que celui que nous avions en couple. Le hasard nous a fait croiser Cathy, Fabienne, Régis et Michel l'été de cette année là, et cette rencontre a fait voler en éclat nos préjugés. Nous étions à peu près du même âge, Fabienne la plus jeune avait 26 ans, Michel 29 ans, Cathy 28 ans et Régis le plus âgé avait 30 ans.Les premiers mois de cette aventure, nous avons beaucoup discuté Franck et moi. L'un comme l'autre nous avons un peu culpabilisé et par moment il y a eu de la jalousie mais plus nous avions des relations avec les autres couples et plus nous prenions du plaisir. De plus, quand nous étions que tous les deux, notre plaisir était plus intense. Rien à voir avec ce que nous ressentions en groupe. Je ne saurais pas expliquer la différence mais il y en a une. Nous avons découvert une autre façon de prendre du plaisir avec le sexe sans que cela diminue les sentiments que nous avions, bien au contraire, nous étions encore plus attentionné et amoureux l'un de l'autre, et nous le sommes toujours aujourd'hui.C'est encore au bord d'une rivière que nous avons rencontré Christine. Nous étions allés, avec les deux autres couples passé une journée au bord du Gardon dans les Cévennes. L'endroit était réputé désert et difficile d'accès si l'on n'y accédait pas par une propriété privée. Michel, ...
... dont je ne me souviens plus par quel moyen, possédait la clé de cette propriété. Nous y avons garé nos voitures et nous sommes descendu à travers bois par un petit chemin très étroit, où les hommes marchaient devant pour dégager les branches et hautes herbes qui obstruaient le passage, vers le Gardon. Au bord de l'eau, il y avait quelques rochers et un emplacement avec un peu d'herbe où nous avons posé nos sacs. La rivière ne faisait qu'une dizaine de mètres de large avec un grand surplomb rocheux abrupte juste en face qui rendait impossible l'accès de ce coté là. A gauche et à droite de l'emplacement, de hauts rochers rendaient également l'accès difficile. Michel nous expliqua qu'un chemin, vers notre droite, descendait et débouchait environ à 100 mètres de là mais qu'il n'était accessible qu'après plus de 45 minutes de marche et qu'il fallait rajouter 15 à 20 minutes de plus pour le retour tellement la remonter été raide, ce qui était plutôt décourageant. Il nous expliqua également, que le rocher qui tombait dans l'eau en face de nous formait une piscine naturelle de 5 à 6 mètres avec une profondeur d'environ 1,5 mètre alors que sur plus de la moitié du Gardon l'eau ne montait pas à plus de 30 cm à cette époque de l'année.Nous étions fin août mais il faisait encore assez chaud et beau pour nous baigner dans la rivière. Nous n'avons pas pris la peine d'installer nos affaires, nous nous sommes de suite mis à poil et nous avons été tous les six dans l'eau. Nous étions en fin de ...