1. L'été de mes 18 ans 09


    Datte: 14/05/2018, Catégories: Lesbienne

    ... reins. C'était divin. Il accéléra la cadence en râlant. Je sentis son sexe grossir encore plus et il jouit en m'inondant de son sperme tandis que Mélanie m'amenait à l'orgasme en titillant mon bouton à une vitesse folle. Je me laissais tomber sur le lit. Très vite je sentis le sperme s'écouler de mon sphincter encore ouvert. Mélanie écarta mes fesses et se mit à lécher et à avaler le sperme de son neveu. Puis nous allâmes prendre une douche et un petit déjeuner. Charles devait repartir par le train en fin de matinée. Je rentrais chez moi, ravie mais épuisée par toutes ces nouvelles sensations, tandis qu'elle l'emmenait à la gare. Elle me téléphona le lendemain pour m'annoncer que son mari les emmenait une semaine en vacances, Carla et elle et que j'allais lui manquer. Elle me dit : « Si tu es trop en manque, appelle ta prof de bio! Mais il faudra tout me raconter, promis? » « Oui, bien sûr Mélanie, Mais tu sais, je me suis peut-être fait des idées. Bisous » J'hésitais pendant deux jours et puis la tentation fut trop forte : je revoyais en pensées cette prof très féminine, toujours tirée à quatre épingles et habillée très chic. C'était une grande rousse aux formes voluptueuses : Madame Roussel. Elle répondit tout de suite à mon coup de fil. « Ah Claire, cela me fait plaisir de t'entendre! Félicitations pour le bac! Tu n'es pas partie en vacances? Moi non plus et je t'avoue que je m'ennuie un peu. Veux-tu venir prendre un thé à la maison cet après-midi? » J'acceptais sa ...
    ... proposition et elle me donna son adresse : elle habitait un appartement au 4ème étage d'un bel immeuble du centre-ville. Comme il faisait chaud, je choisis une tenue légère, mais très sage : jupe plissée jusqu'aux genoux, chemisier blanc et dessous tout simples en coton blanc. J'avais décidé de jouer la jeune fille timide afin de voir ce qui allait se passer. Je sonnais chez elle vers 16h. Elle m'ouvrit, me fit une bise et me mena dans le salon. Elle portait un long déshabillé en soie naturelle, tenue par une cordelette. « Excuse ma tenue un peu négligée, mais il fait si chaud! Je n'ai pas eu le courage de m'habiller. Cela ne te gêne pas? » « Non, pas du tout, madame dis-je avec un sourire. Vous avez bien raison de ne pas faire de chichis. « Bon alors, maintenant que je ne suis plus ta professeure, plus de madame ni de vouvoiement. Mon prénom est Jeanne, compris? « Euh bien mad... euh oui Jeanne. » « Alors raconte-moi ; que fais-tu de tes vacances? Tu sors avec des amis? » « Ben non, hélas ils sont tous partis et mes parents ne partent pas en vacances cette année. Alors je traine, je vais à la piscine, je lis... » « Ah quel dommage! J'ai préparé un thé glacé, vu la chaleur. Cela te convient? » « Euh oui mad... oui Jeanne, très bien. Elle alla à la cuisine et revint avec un plateau. Elle se pencha pour me servir. Comme par hasard, son déshabillé s'ouvrit d'un coup, dévoilant des dessous affriolants : culotte et soutien-gorge en dentelle rouge, porte-jarretelle et bas coordonnés. 
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