1. Suceur de zob


    Datte: 14/05/2018, Catégories: Gay

    ... quoi faire...Il faut quand même que je me présente. J'ai 35 ans, grand et mince et marié. Depuis, je peux m'adonner sans problème à un vieux fantasme : me travestir et, petit à petit, j'ai commencé à jouer avec des godes, à être de plus en plus féminine dans l'intimité ... et c'est pourquoi, depuis, je ne porte plus que des strings, tangas ou autres dessous féminins sous mon pantalon...Mais de là à être forcé à sucer la queue d'un homme dans les toilettes d'une aire de repos... là non, je refuse... Quoique, il faut bien que je me l'avoue, j'ai aimé cette sensation de n'être qu'une bouche pour cet homme, d'avoir été contrainte de lui faire une pipe... j'en suis resté toute pantelante... choquée mais heureuse que cet homme m'ait obligé de passer le cap... De vivre enfin du réel !Et pendant 2 jours, il est vrai que je me suis préparé, sans le vouloir, à y retourner. Une épilation complète à la cire, car ces derniers temps, je m'étais laissé aller. J'avais du mal à choisir la guêpière que j'allais mettre, la noire qui laissait mes « seins » accessibles, ou une autre moins provocante, ou encore une rouge (tellement sexy et pute). Dans ma tête, une obsession : lui plaire et lui montrer que j'ai aimé quand il m'a forcé à le pomper.Et enfin, j'y suis allé. Sous mes habits masculins, je portais une guêpière rouge et des bas résilles noirs. Dans un sac, j'avais pris aussi ma perruque blonde et de quoi me maquiller, ainsi qu'une paire d'escarpins avec 5 cm de talons. À 17 h 45, ...
    ... j'entrais dans les sanitaires de l'aire de repos, dans une chiotte afin de me changer et d'être prête quand il arriverait. J'attendais tout en faisant attention à qui entrait et sortait. Heureusement pour moi, peu de monde voulait entrer dans la chiotte où j'étais. Enfin, j'ai entendu le bruit de ses bottes sur le carrelage. Doucement, j'ai ouvert la porte des toilettes et je l'ai vu face à un urinoir et commencer à défaire sa braguette. Je me suis avancé d'un pas non assuré, ce qui faisait résonner mes talons sur le sol carrelé. Il n'a pas bronché quand ma main s'est approchée de son zob pour le tenir, comme il me l'avait ordonné la première fois. Il a retiré sa main qui est venue se plaquer sur mes fesses, tandis qu'il urinait.Ayant fini son besoin, il s'est tourné vers moi et m'a balancé une gifle qui m'a fait tomber sur le sol.- Alors la pute ? 2 jours que j'attends ta bouche pour me vider les couilles ! Qu'as-tu foutu, bordel ? Viens ici et pompe-moi bien le zob, la salope ! Mais c'est qu'elle s'est fait belle, la pute, pour honorer ma queue ! Tourne-toi avant !Je me relève péniblement et commence à tourner sur moi même. Je suis toute chose, complètement sous l'emprise de cet homme. Je commence à onduler des fesses. Un grand sourire de plaisir envahit mon visage, je suis heureuse car je vois que je lui plais ainsi. Son zob commence à durcir. Je lui fais de l'effet, c'est sûr !- C'est bien mon zamel (zamel = pédé en arabe marocain), viens ici et pompe-moi vite ! Je n'ai pas que ...