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COLLECTION DOMINANT DOMINE. La forge de l’enfer (1/4)
Datte: 15/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme
... croire aux hommes qu’elles avaient épousés étaient les géniteurs. Quand je repense la façon dont ma grand-mère l’écoutait buvant ses paroles, je me demande si la première accrochée à ce palan, s’était-elle et qu’elle ait été la seule dans ces années-là. J’ai donc hérité de l’endroit, les droits de succession s’élevant à zéro car l’ensemble, forge plus terrain n’avais pour les experts désignés par le notaire aucune valeur. Il faut dire qu’ils sont venus vers 17 heures, à la nuit tombante et qu’ils pensaient plus à s’en retourner que de compter qui une bride pour les chevaux, qui un palan ou encore des draps et des serviettes achetées dans les années 1900. Comme je l’ai dit, j’ai quarante ans, je m’appelle Christian et je suis marié à Valérie jolie fille que j’ai épousée il y a un mois et qui est plus belle de jour en jour. Quand tout a été achevé avec l’administration, je l’ai emmené visiter notre bien, la tête qu’elle a fait quand elle a vu l’état de délabrement de l’ensemble que nous venions d’hériter. Coup de chance, elle était ignorante des légendes véhiculées dans ce lieu et nous avons dormi dans le lit de mes grands-parents où nous avions changé les draps. En cadeau de mariage mon employeur m’avait envoyé par la poste une lettre recommandée me licenciant, quant à Valérie elle venait de quitter son emploi près de Lyon pour habiter chez moi près de Perpignan. La forge est devenue pour nous notre refuge, lieu gratuit qui nous a permis de survivre jusqu’à ce que la ...
... situation s’améliore et ainsi économisé le loyer de mon appartement. Dès les premiers jours avec Valérie nous sommes mis en tête de nettoyer tout ce capharnaüm plus pour passer le temps que dans un dessein bien précis. C’est dans la cuisine où il y avait un fourneau à bois, bois que mon grand-père allait couper en forêt et qui était la seule source de chaleur de la partie habitable de la forge que j’ai retrouvé le grand couteau que j’avais perdu de vue des années après la mort de grand-mère ayant marqué la fin des tartines. Grand-père avait dû continuer à s’en servir et à l’aiguiser car la lame était encore plus fine et coupante qu’une lame de rasoir que ma mémoire s’en souvenait. Devant la grande porte laissant dépasser la poutre avec le palan nous avons entassé tout ce qui se trouvait à l’intérieur, moi m’occupant de la forge et ses dépendances, sans penser que c’était au même endroit que les satyres allumaient leur feu. Ce rangement m’a permis de découvrir au fond une porte cachée derrière tout un fatras ou grand-père avaient accumulé de nombreuses bouteilles de grands crus Bordelais. C’est drôle comme les souvenirs remontent à ma mémoire de petit garçon, car à chaque repas ce genre de bouteille caractéristique de la région était posé sur la table qui est toujours là même aujourd’hui avec sa toile cirée sans âge et toute craquelée. Si les experts avaient découvert ces bouteilles, ils auraient estimé que cette pièce borgne à chaleur tempérée vu son emplacement décelait un trésor ...