1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°952)


    Datte: 19/06/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    soumises prêtées au Château – (suite de l'épisode N°950) - Je ne sais pas combien de temps on nous permis de dormir, trop peu à mon goût, quand on vînt nous secouer sans ménagement . - Aller debout esclaves ! Nous avons bondis toutes les deux en même temps nous demandant ce qui se passait . Nous émergions d'un sommeil sans rêve . Le feu s'était éteint mais il régnait encore une douce chaleur dans la pièce . Le fauteuil du Marquis était vide . Le petit jour pointait et teintait tout le salon d'une lumière blafarde . J'avais faim . Je levais les yeux et vis Walter debout devant nous . Je me demandais ce qu'il voulait et pourquoi il avait crié comme ça . - Debout je vous ai dis, je n'aime pas répéter deux fois la même chose . Il sortit les mains de son dos, il tenait une cravache . J’eus un frisson . Je regardais Mélanie, elle ne comprenait pas plus que moi ce qui se passait . Nous nous levâmes ensembles, incertaines de ce qui nous attendait . Nous étions toujours nues . Je mis mes mains tout de suite derrière mon dos, attendant la suite ! Mélanie tarda un peu, Walter s'approcha d'elle et la fouetta à toute volée sur la cuisse, elle cria ; - J'ai dis les mains dans le dos ! Elle ne se le fit pas dire deux fois, pourtant l'envie de frotter l'endroit où était tombé la cravache devait être forte . Elle n'en fit rien et se contenta de gémir en se tortillant . Walter nous poussa vers la porte . -Le Maître vous attends, vous ne devez pas le faire attendre ! aller plus vite que ça ! ...
    ... Nous avançâmes devant Walter qui nous guida jusqu'à la cuisine . Le Marquis était là, assis à un bout de la longue table, il prenait son petit déjeuner . Il nous montra les bancs de chaque côté et nous dit de nous assoir : - J'ai à vous parler mes petites chiennes, nous dit-il sans préambule . Pour vous récupérer de chez le Comte, j'ai dut faire des choses qui n'étaient pas prévues, vous m'avez fait perdre mon temps, occasionné des frais, j'ai dut perturber toute l'organisation des tâches de mes esclaves, les détourner de ce qu'ils devaient faire pour moi, ils ont perdus du temps eux aussi, et j'ai dut les punir pour ce qui n'avait pas été fait . - mais ce n'était de leur faute... - non en effet ça ne l'était pas, mais ça ne change rien ! Leur travail n'était pas accomplit, même si ça n'était pas de leur fait ! Donc pour tout ça je dois vous punir à votre tour puisque vous êtes les vraies responsables de tout ça ! - mais Monsieur le Marquis, essayais-je de répliquer, ce n'est pas non plus de notre faute c'est Monsieur le Comte qui.... - Silence chienne ! je rentrais ma tête dans les épaules et me tut sur le champ ! - surtout toi ! c'est de ta faute si tout cela est arrivé, esclave lubrique ! si le Comte ne s'était pas entiché de toi on en serait pas là ! Il se tût, il frémissait . Je le sentais au bord d'exploser . Mais pourquoi était-il si en colère ! Je ne comprenais pas et je trouvais que ce qu'il disait était très injuste de sa part . Je n'y pouvais rien, moi, si le Comte ...
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