44.1 Nico, le bac, l’été, les hommes et l’Imperium.
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Dimanche matin, 8 juillet 2001, 2h39. Un beau mec n'ayant jamais connu auparavant le plaisir de la sodomie. Un beau brun découvrant qu'il aime ce plaisir inconnu et toujours écarté, refoulé auparavant… voilà que je trouve cela outrageusement excitant… Non, jamais je n'aurais cru voir le beau brun prendre son pied de cette façon, en se faisant mettre bien profondément, tout en gémissant, en suppliant, en quémandant ce nouveau plaisir qui secoue chacune de ses fibres… en réclamant avec insistance, presque en criant, qu’on le défonce plus fort, encore plus fort, sans retenue… le voir gémir sous les coups de reins d’un mec qui est à ce instant précis… plus « mec » que lui… le voir complètement soumis au plaisir, à la puissance de la queue qui le fait jouir du cul… Oui, je trouve cela extrêmement excitant de voir le beau brun renoncer à son statut de mâle, jouir de voir sa virilité écrasée de cette façon absolue, céder avec bonheur à l’assaut d’une virilité plus puissante que la sienne… Ce qui ne m’empêche pas de me demander comment le beau brun va assumer cela après coup, lorsque l’excitation sera retombée, lorsque son « maître » d’un soir se sera vidé les couilles et lorsqu’il verra dans son regard le triomphe de sa virilité sur la sienne… J’ai mal dans ma chair de voir une fierté masculine si impitoyablement malmenée… et de deviner les dégâts que cela va engendrer après coup… hélas, comme il est suggéré dans une fable célèbre, « Le beau brun et le brun beau », il n'est point de ...
... loi que celle du plus viril... car la raison du plus couillu est toujours la meilleure… En attendant, je regarde le beau brun en train de prendre son pied sans ménagement… pendant que son « maître » d’un soir se défoule entre ses cuisses, sans ménagement… ce dernier est en nage, il va bientôt jouir… « Vas y, comme ça, vas-y, défonce-moi, vas-y, mec… » j’entends le beau brun crier, fou de plaisir « … putain que c’est bon… jamais on m’a fait un truc pareil, jamais ! ». Ce qui finit par motiver son « maître » à se lancer dans une série de coups de reins bien puissants et profonds, avec pour conséquence de l’amener à jouir rapidement et très fort, le visage déformé par la puissante secousse de l’orgasme, exprimant son plaisir dans un râle profond… tout en cherchant mon regard pour s’y abandonner l’espace d’un instant de jouissance… Lorsque son excitation retombe, son regard retombe aussi… c’est là que je capte les yeux du beau brun, des yeux dans lesquels je lis la vibration toujours puissante d’une excitation extrême… j’ai carrément l’impression que son physique de petit coq sexy tremble encore, secoué par le plaisir de fou qui l’a carrément retourné… Précédemment dans 50 nuances de ces inqualifiables goujats de Jérém et de Thibault : après le bac, après Gruissan, après les interludes fort distrayants de la Piscine Nakache et du vestiaire du terrain de rugby, le mois de juin 2001 touchait à sa fin ; une journée shopping avec ma cousine rue d’Alsace-Lorraine s’était terminé avec ...