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La Révélation de Sophie (1)
Datte: 15/05/2018, Catégories: Divers,
... de rire : « Tu n’as rien à me cacher, ma puce. Tu aurais un trésor, que je ne devrais pas voir ? — Monsieur, je vous en supplie… Le tapotement insistant de la cravache contre l’arrière train clôt la négociation. Tel un métronome, la lanière de cuir bat la mesure contre le cul rebondi : « Déshabille-toi ! Plus ! vite ! que ! ça ! Sophie ! » Mais blocage. Tétanisée. Elle est vraiment terrorisée à l’idée d’exposer son sexe. Elle anticipe sans doute le viol. La manière forte serait contre-productive. Phil, change encore de stratégie, il ouvre sa main non pas pour gifler mais pour effleurer tendrement la joue de velours et d’une voix paternelle et réconfortante : — N’ai pas peur. Je ne veux que ton bien. Tu ne vas quand même pas mariner toute la journée dans ta pisse ? ça te plait de puer comme ça ? Non ! Alors ? Si je voulais te baiser, crois-moi que tu y serais déjà passée. Cesse de faire ta mule stupide et obéis gentiment. Tu te sentiras tellement mieux après et tu éviteras d’être corrigée. De toute façon, tu finiras par obtempérer. Autant que ça se passe en douceur. Tu ne crois pas ? » Elle est si déboussolée, elle n’a plus aucun repère. Il est devenu son seul point d’ancrage. Il poursuit sa litanie sur un ton aussi apaisant que le mouvement de son index boudiné qui patiemment caresse le visage : « Ce n’est rien du tout de me montrer ton con et ton cul, ma puce. Tu vas tout me montrer de toute façon. Tu n’es rien sans moi. Tu es à moi. Tu m’appartiens. Considère-moi comme ton ...
... seigneur et même comme ton Dieu. Tu obéis aveuglément à Dieu, n’est-ce pas ? Sans te poser de question. J’exige la même confiance aveugle. tgdtvvlu — Mais c’est impossible… — C’est la vérité. C’est ma volonté. Et il n’y en a pas d’autre. — S’il vous plait. — J’entends tes prière ma puce. Mais je n’exhausse que celles qui sont recevables. Il faut que tu mérites ma miséricorde, mon amour. Sois heureuse d’être ma chose. Je vais veiller sur toi. Je suis un bon maître. Tu vas t’épanouir avec moi, je te le promets. » Elle a déjà portée les mains aux rebords de la culotte. « Décide-toi. Tu préfères garder cette culotte pisseuse, vivre un enfer, ou marcher dans mes pas vers le Paradis ? Je te vois interloquée. Et pourtant, si tu me suis, tu connaîtras l’extase. Oui, l’extase, Sophie. Une extase dont tu ne peux pas encore te figurer l’intensité. — Mais… — Pour l’instant contente toi d’obéir. Ne cherche pas à comprendre ? Tu es une petite chose inconséquente. Comment pourrais-tu saisir ma magnificence ? Sois simplement heureuse que je t’ai choisie. Sois digne de cette élection. Ton dévouement sera récompensé dans des proportions inimaginables… Ou alors… Sois damnée à jamais. » Il accompagne l’avant dernière sentence d’un coup puissant de badine dans le creux de sa main. Et il conclut en la levant, prêt à l’abattre sur les délicats nichons : « Tu veux que je t’aide à franchir le pas ? » La petite pouliche honteuse vient de baisser sa culotte sur les genoux. Elle se détourne, biaise pour ...