Belle-mère 2
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Lorsque j’ai revu Paulette, quelques mois après notre première expérience, j’étais des plus excité. Je n’étais pas certain que mes demandes allaient être respectées. Ma belle-mère avait décidé d’être ma soumise, mais elle avait pris cette décision dans l’action. Il y a quelques mois, j’avais trompé ma femme pour la première fois, et c’était avec ma belle-mère sur laquelle je fantasmais depuis longtemps. Je me suis rendu chez ma belle-mère à la demande ma femme, pour l’aider à descendre un petit meuble de son grenier. Ce samedi il faisait encore chaud et beau. Lorsque je sonnais à la porte, Paulette est venue m’ouvrir. Je la trouvais resplendissante, habillée comme d’habitude avec une blouse. Elle était à contrejour et je voyais les formes de son corps, ce qui me fît bander immédiatement. Avait-elle mis une culotte ? Avait-elle épilé son sexe comme je lui avais ordonné ? - Bonjour, - Bonjour Paulette, comment allez-vous ? - Bien et toi, pas trop chaud aujourd’hui ? - Si un peu, vous savez que je n’aime pas la chaleur. - Moi non plus je n’aime pas quand le thermomètre dépasse les 30°. J’entre et lui fais la bise. J’essaie d’embrasser le coin de ses lèvres, mais comme elle tourne un peu la tête, mes lèvres se posent sur sa joue. Je suis déçu et un peu surpris. - Le meuble est au grenier, suis moi, je te montre. - OK. Elle prend les escaliers et commence à monter les marches. Je suis derrière elle et j’aperçois déjà le haut de ses cuisses sous sa blouse. Je suis comme un ado qui ...
... mate les femmes dans les escaliers. Mon regard ne peut pas se détacher de sa blouse et je me penche pour voir. Cette situation m’excite doublement, mais je ne vois rien que le haut de ses cuisses … dommage ! Arrivés au grenier, il nous faut quelques secondes pour s’habituer à la pénombre. Je crois deviner des chaises bien empilées, une table ronde, un buffet, quelques malles et un vieux canapé recouvert d’un tissu. - Voilà, c’est le petit chevet qui est derrière le buffet qu’il faut descendre. Je vais quand même faire le tour pour voir s’il n’y a rien d’autres que je pourrais récupérer ou donner. Pendant que je m’approche du meuble pour le préparer, Paulette fait le tour du grenier. Je bande, la situation est tellement excitante que je bande plus fort que d’habitude. Elle est proche du canapé, elle enlève le tissu qui le recouvre. - Que penses-tu de ce canapé, il pourrait encore servir ? - Je pense que oui, il n’est pas en si mauvais état. - Il n’est pas abîmé, mais il est vieux et démodé. - Il y aura toujours quelqu’un pour s’en servir. - Tu crois ? - J’en suis certain. Paulette se penche au-dessus du canapé et appuie avec ses mains pour voir si l’assise est encore un peu ferme. Je suis derrière elle, je m’approche, pose mes mains sur ses hanches et me colle à elle. - Qu’est-ce que tu fais ? - Vous le voyez bien. - Il ne faut pas. Nous avons fait une erreur la dernière fois, mais il ne faut pas recommencer. - Tu as peut-être fait une erreur, mais pas moi. - Mais … - Ne dis ...