Ces étudiants en rut
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
Anal
Gay
Partouze / Groupe
... pour des queues bien en forme, je me demandais pourquoi personne ne commençait. Ils attendaient quoi? Mon troufignon était tout mouillé d'excitation. Et ce jeune qui me suçait sans arrêt, ne pouvait-il pas me fourrer son énorme machin entre les fesses car, ayant jeté un oeil à toutes les bites, c'est lui qui avait agrémenté de la plus grosse. Les autres n'étaient pas mal non plus mais elles ressemblaient à beaucoup d'autres. Soudain, je me sentis tirer, comme pour m'inciter à me lever. On changeait de pièce. Tous, on marcha jusqu'à la cuisine, m'incitant à m'agenouiller sur la table tandis que les autres se postèrent tous autour, de sorte à ce que je sois le point central. On m'écarta les cuisses et l'un d'eux se mit à lécher avidement de sa chaude langue. J'entendais des bruits, comme si on fouillait dans le réfrigérateur et je pus constater sans trop attendre qu'effectivement, l'un d'eux y sortait des choses. Soudain, on plaqua quelque chose de froid contre ma rosette. On tentait de percer ma rondelle de cette chose froide que je savais être un légume, comme une carotte selon la grosseur et en quelques coups, cette chose s'introduisit dans mon cul que l'un des jeunes se plaisait à lui faire faire du va-et-vient. C'est alors que je me retrouvai avec une queue au visage, remplie de crème fouettée et de caramel. Par chance, je ne suis pas diabétique car j'ouvris grandement les lèvres pour savourer cette bite sucrée. Et l'on délaissa la carotte pour un concombre anglais, ...
... selon la longueur qui me fourrait bien à fond jusqu'aux entrailles. J'entendais rire les jeunes qui se plaisaient à jouer tandis que moi, je profitais d'eux sans qu'ils le sachent réellement. Ils se croyaient bien forts mais au fond, c'était moi qui avais le plus de plaisir. Ils étaient tous là, pour moi. Que pouvais-je demander de plus? Ils pouvaient bien m'introduire ce qu'ils désiraient et garnir leurs queues de crème et de caramel tant et aussi longtemps qu'ils s'occupaient de moi. Et ils m'incitèrent à me coucher sur le dos et deux d'entre eux prirent mes jambes qu'ils soulevèrent pour mettre bien à vue mon trou de balle. Maintenant, je pouvais voir tout ce qui se passait, même la batte de baseball que l'un d'eux tenait. " On va maintenant voir ce que tu es capable de prendre", dit le mec à la batte en me la plaquant avant de pousser cependant, à leur grande surprise, elle entra sans difficulté. " Wowww. Tu es vraiment une vraie salope", entendis-je à travers les rires. " Vous croyez? Et quand penserez-vous utiliser vos queues pour me fourrer comme des vrais mecs doivent le faire"? La batte me fut retirée et enfin, mon jeune à grosse queue s'approcha. D'un seul coup brusque, il me pénétra, y allant de grands coups à toute vitesse. C'était grisant. Je capotais et mes râlements l'incitaient à aller toujours plus vite. Je sentais cette belle grosse bite qui glissait en moi. Les autres regardaient, excités comme des jeunes dans la vingtaine remplis de testostérone. L'un d'eux ...