1. Ces étudiants en rut


    Datte: 16/05/2018, Catégories: Anal Gay Partouze / Groupe

    ... en sortir. Et je poussai lentement tandis que le jeune ouvrit grandement la bouche pour tout avaler. C'était cochon au max et j'aimais ça et le bouffeur semblait, lui, aussi, apprécier. Je l'entendais gémir tandis que le tout lui remplissait la bouche et une fois terminée, sa langue y allait à toute allure comme s'il ne voulait en aucun cas en perdre une goutte. Samuel, lui, me regardait en riant pendant qu'un autre le suçait. C'était vraiment une orgie du tonnerre. Les mecs entre eux se mangeaient le bambou ou écartaient les fesses pour y recevoir une queue jusqu'à ce que Samuel les invite à tout arrêter. C'est là que je compris qu'il était le chef de la gang et qu'il décidait de tout. Il fit signe à deux de ses copains de me lever de table et il prit ma place, sans toutefois lever les jambes. Je compris qu'il désirait que je prenne place sur son membre et, bien entendu, je ne me laissai pas prier. De sa main droite, il désigna l'un d'eux pour se placer derrière moi et, me prenant par le cou, m'incita à me rapprocher de lui. Je savais qu'il voulait que le mec me fourre par derrière et je n'étais nullement contre d'une double pénétration que je sentis aussitôt. Et en quelques coups bien sonnés, le mec jouit, laissant évacuer son yaourt qui se collait sur la queue de Samuel qui, de son côté, opérait de légers mouvements du bassin. Et un autre fut invité à y faire de même. En quelques minutes, les sept colocs m'avaient agrémenté de leurs queues bien pleines qu'ils laissèrent ...
    ... tous couler en moi mais il restait encore Samuel qui ne semblait pas du tout vouloir jouir immédiatement. Il aimait beaucoup trop mon cul pour le quitter comme cela et il savait surtout que son membre me rendait fou de plaisir. " Bon c'est beau. Vous avez eu ce que vous vouliez maintenant, retournez au salon", dicta-t-il aux autres qui, la mine bien basse, s'exécutèrent sans mot dire. Sans nul doute qu'ils espéraient pouvoir recommencer car, à vingt ans, ça ne prend pas beaucoup de temps pour que le moineau retrouve son énergie. Je me retrouvais donc seul avec Samuel, sa queue toujours dans le cul mais il ne bougeait plus, pas plus que moi. J'étais assis sur lui, sa bite entrée bien profondément mais nous demeurions là, à se regarder, sans poser aucun geste. Lentement, il se mit à me caresser le torse avant de me dire de le suivre dans sa chambre. Une fois la porte refermée, il s'approcha de moi et plaqua son corps contre le mien et m'embrassa passionnément. " Ils ont eu droit à ton superbe body mais ta tendresse, je la veux pour moi tout seul", me chuchota-t-il en me mordillant le lobe. Je fronçai les sourcils, surpris qu'il me dise cela mais encore plus surpris par le ton employé. Depuis la rencontre au bar qu'il agissait comme un vrai chasseur et là, il daignait me montrer que je n'étais pas seulement un body mais un être qu'il désirait ardemment.- Je ne comprends pas très bien ce revirement, lui dis-je en m'en éloignant un peu.- Et bien quoi? Maintenant que l'entente a été ...
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