1. Dérapage incontrôlé


    Datte: 16/05/2018, Catégories: fh, 2couples, parking, boitenuit, Oral préservati, pénétratio, hsodo, échange, confession,

    ... bataillent. Son corps est tout contre le mien. — Ils nous attendent, me susurre-t-elle à l’oreille. Mais rien dans son attitude ne confirme qu’il faut retourner voir les autres. Au contraire elle se fait chatte et se colle encore plus. Alors je la soulève et l’assois sur la table de pique-nique. — Louis, que fais-tu ?— Au moins, là tu ne risqueras pas de rayer ma carrosserie. Elle rit. — Mais eux ?— On s’en fout ! Elle se laisse aller en arrière. Ses jambes pendent. Sa robe recouvre à peine le haut des cuisses. J’y passe une main, puis l’autre. Le velouté de la peau est un délice. C’est doux, chaud. Sa chatte est protégée par si peu de tissu. Petite culotte comme celle qui est encore dans ma poche, celle de Lise. À ce rappel, je sens ma verge se tendre. Baiser sa femme après sa maîtresse ! Rose soulève ses fesses pour m’aider. Le triangle va rejoindre celui de ma maîtresse d’un soir. Le bas de la robe est ample. Il me fait un paravent alors que j’avance ma tête entre ces cuisses qui s’ouvrent pour moi. C’est chaud, humide, odorant. J’entends comme un écho le « Ahhhh » alors que mes lèvres effleurent la bosse magique, collines de chair qui bordent un abîme sombre. Collines habillées de la dentelle des petites lèvres que j’imagine onduler sous le souffle de ma respiration. — Oh, mon chéri, c’est bon ! J’aime me faire sucer, surtout par Rose qui devient à chaque fois plus vorace, gloutonne de ma pine comme elle l’est de ce gode ceinture qu’elle nous partage avant de me ...
    ... l’enfiler. Petit jeu pervers de celui qui en prendra le plus dans sa gorge. Petit jeu qu’elle gagne toujours. Mais j’aime encore plus la lécher. Je connais tout d’elle. Je sais, dans le noir complet, trouver le chemin du : — Ahhhh, lorsque je glisse ma langue dans sa fente.— Ohhh, si je dérape vers son petit trou. Un Ohhh qui peut se répéter si j’insiste. Le chemin du grondement lorsque je m’intéresse à son petit bouton. De la succession de gémissements, de poussées de son ventre vers moi lorsque je le suce, le fais sortir de sa gaine, l’aspire jusqu’à ce que… Comme tout de suite… Sa main sur ma tête… Ses cuisses ouvertes encore plus… Ses pieds qui se posent sur la table afin qu’elle se cambre encore plus… Et enfin cette secousse qui annonce sa jouissance, cette coulée de jus intime… Elle a joui. Je ressors vainqueur de ma plongée. Mes lèvres gardent le goût de la victoire. Mais je ne suis plus seul. Notre chauffeur et sa maîtresse sont venus se repaître du spectacle. Eh bien qu’ils regardent ! Après tout, même si c’était dans un rêve, c’était moi tout à l’heure qui regardais. Mon sexe est si gonflé que je dois faire attention de ne pas le blesser en tirant sur le zip. Il apparaît, conquérant, fier, impatient et sous le regard de ce couple pervers, il cherche le chemin du bonheur. La robe n’est pas un obstacle, les cuisses sont encore bien ouvertes même si les jambes pendent à nouveau. Bon prince, je chasse le tissu sur le ventre de la femelle qui n’attend qu’une chose. Que je la ...
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