Dérapage incontrôlé
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
parking,
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
hsodo,
échange,
confession,
... l’arrière. Si près, mais si loin. J’essaie de prendre sa main, mais elle me fuit. Merde. J’ai fait le con. Pourtant Rose m’avait prévenu. Mais je ne comprends pas bien ce qui s’est passé. Manifestement Lise a tout fait pour me séduire et je dois admettre que ma résistance n’a pas été à la hauteur. Mais quel intérêt pour Marc de me filer sa maîtresse entre les pattes si ce n’est pas pour faire de même avec Rose ? Et s’il a essayé, manifestement Rose a refusé sinon elle n’aurait pas été en colère. Est-ce qu’il prépare l’avenir en me montrant ce qu’il peut m’apporter avec sa Lise en échange de… Mes pensées s’embrouillent. La route défile. On arrive chez nous. Nous sortons de la voiture. — Chéri, nous pourrions inviter nos amis pour un dernier verre ! La proposition de Rose m’étonne. Mais j’acquiesce : tout ce qui peut retarder mon tête-à-tête avec ma femme est bienvenu. La tension est palpable. Nous entrons. Rose dirige nos invités dans le salon. Elle les installe. Je sors du champagne, Rose, les flûtes. Nous échangeons quelques paroles sur le repas, le resto, l’ambiance rétro. Petit à petit la tension se dilue. Rose fait comme si de rien n’était. Elle participe, apporte sa contribution. Même lorsque nous revenons à parler de voitures, elle ne proteste pas. Au contraire, elle y ajoute une remarque sur le manque de confort pour certaines choses. Tout le monde comprend l’allusion et d’une certaine façon, cela contribue à détendre l’atmosphère. Est-ce cela qui rappelle à Lise ...
... qu’elle n’a pas de culotte ? Comme je la lui avais discrètement repassée en entrant chez nous, elle demande la salle d’eau. — Allez au premier. La porte à gauche. Nous la suivons du regard. L’escalier qui mène à l’étage est dans le salon. Il dessert la mezzanine et la suite parentale. La voir monter me donne un frisson. Sa jupe est courte, je suis bien placé pour le savoir, les hanches bien marquées. Sa poitrine généreuse lui donne une silhouette de bombasse. Je surprends le regard de Rose sur moi alors que le mien quitte celle qui monte. Je ne sais comment traduire le petit sourire sur ses lèvres. Lise redescend quelques minutes plus tard. — Vous êtes drôlement bien installés.— Merci. Cette façon de mettre la suite parentale à l’étage nous a permis de conserver une certaine intimité lorsque nous avions nos enfants à la maison. Un silence où le motintimité prend tout son sens. Et puis Rose nous dit : — Excusez-moi une seconde. Je reviens… C’est à elle de monter. Comme avec Lise, nous la regardons. La robe est plus sage, mais le déhanchement bien agréable. — Vous avez une bien belle femme.— Je sais, dis-je en réponse à la remarque de Marc. Quelques minutes passent où je dois répondre à des questions sur notre duplex, nos enfants, etc. Et puis on entend : — Marc, vous voulez bien monter un instant, s’il vous plaît ? C’est Rose. On l’entend, mais on ne la voit pas. Marc me questionne du regard. Je fais un « je ne sais pas » d’un geste et je lui fais signe de monter. Il s’exécute. Je ...