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Le Chevalier Pervers 03
Datte: 16/05/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur,
... main. La main était fraîche et fine et contrastait avec ma carnation brune. Elle me guidait vers son puits d'amour, avec douceur. Je baissais les yeux sur son doux visage et sentis une douce chaleur m'envahir le torse. Je fronçais les sourcils. -Retournes toi. Ordonnais-je. Son léger frémissement me remplit d'aise. Docilement, elle s'inclina sur la table, exposant son anus serré, petit point d'ombre au milieu de ses chairs blêmes. Je plaçais mon chibre contre l'oeillet frémissant. Elle écarta ses deux globes jumeaux du bout de ses doigts fins. L'orifice que je convoitais s'en trouva un peu élargi. Je poussais fermement et le muscle céda et je m'enfoncais en grondant dans son cul. Elle salua ce viol d'un cri de douleur. Je commençais mes aller-retour rapides sans tenir compte de ses cris hystériques.je me libérai sur le bas de son dos. Elle ôta tout à fait sa robe, et se tourna vers moi avec un pâle sourire. -J'avais peur que le cul de cette Lady vous ait détourné de celui de votre Cath' . Elle avait le visage dévasté de larmes et grimaçait si elle devait effleurer le plateau de la table. Je me penchais et l'embrassais profondément. Au coeur de la nuit, je me redressais, tous les sens en éveil. Le craquement se reproduisit. Je me glissais hors de la couverture. Je me glissais dans la nuit, à la suite de l'ombre qui gagnait le bord de la rivière. J' empoignais le col de celui qui se déplaçait le long de la berge de la rivière. Il sursauta et je le plaquais au sol en ...
... m'abattant sur ses reins, ce qui lui arracha un cri. Il était attaché au centre du camp, les bras liés en arrière autour d'un arbre. Il frissonnait, sa nudité offerte aux fraîcheurs de la nuit. -Votre bêtise est admirable, dis -je, n'avez vous pas songé que ce côté là était également gardé? Le jeune homme secoua la tête. Il était très jeune, peut-être moins de vingt ans. L'âge de déraison et des emportements le torturait. -Pourquoi t'es tu enfui? -Je ne veux pas mourir. -C'est fait, tu es mort. Je me sentais las de cette comédie. -Le duc de Bordeaux l'a décidé, c'est ainsi. Il m'a versé votre rançon précisément pour s'assurer de votre mort. Vous avez été tué à l'ennemi et figurez déjà sur le mur des morts sans sépulture sur le mur de son donjon. Votre famille vous pleurera quelques temps, puis le monde poursuivra sa course, tandis que vous jouirez d'une place de choix à la droite de notre seigneur. L'autre chevalier avait toujours son regard fixe et droit.. Il ne regardait pas son compagnon d'infortune. -Comme tu n'as pas encore accepté ton engagement auprès de moi, tu n'as pas trahi. Précisais je. Mais je ne peux tolérer ce genre de chose. Le fouet siffla et cingla ses jambes sur les cuisses. Je passais mon outil à un compagnon qui fit siffler la lanière jusque sur l'épaule gauche du malheureux qui glapissait de douleur à chaque coup. Au bout de dix coups, il perdit connaissance. Je le laissais là et renvoyais mon monde au lit. Catherine s'était levée en entendant le tumulte mais ...