La vraie histoire du Chaperon Rouge (3)
Datte: 17/05/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... bien désirable. Tourne toi, et penche toi pour m’offrir ta chatte, que je vois si elle est aussi bonne que ta bouche. — Oui Loup, avec plaisir, mais n’oublie de prendre mon cul aussi. D’après Chasseur et ses amis c’est le meilleur de mes trous; en tout cas moi, c’est par là que je préfère prendre leurs bites. — Mais bien sûr ma douce, c’était dans mes intentions. Il la pris alors en levrette, et gicla aussitôt dans sa fente, du sperme abondant et brulant qui la fit crier de bonheur. C’est la première fois qu’elle recevait du jus de couilles dans son vagin, et la sensation était formidable. Le loup continuait à la baiser, à l’inonder de sa semence. La dimension de sa queue s’adaptait à sa matrice. Sa longueur était limitée, trente centimètres, se heurtant alors à son utérus. L’épaisseur par contre ne semblait pas poser de problèmes, et il l’élargit jusqu’à dix centimètres sans que le chaperon ne s’en plaigne. Il la limait, jouissait en dedans, et elle fut vite remplie. Il se dégagea pour libérer tout son sperme et refaire de la place. Un flot s’échappa de son bas ventre, et elle s’empressa de mettre sa main pour le récupérer. Elle l’étala sur son corps, son ventre, ses seins, son visage, tandis que le loup l’avait reprise pour l’aimer aussi intensément que la première fois. Ils étaient en pleine fornication, lorsque la porte s’ouvrit; c’était le chasseur accompagné de son chien. Il leur dit bonjour, puis fila à la chambre pour chercher la grand-mère. Il revint avec, et ...
... avant même que le chaperon ne réalise la situation visiblement gênante, ils lui dirent de ne pas s’inquiéter, de continuer à baiser, qu’il n’y avait aucun mal à se faire du bien entre amis. Là-dessus le chasseur se déshabilla, et la mamie en fit autant. Il s’assit sur une chaise, la bite dressée, et elle se mit à quatre pattes pour le sucer. Le chien vint derrière elle, la lécha, puis la monta. Le chaperon compris que tout cela était combiné, qu’elle s’était faite avoir, et cela ne la fâchait pas, bien au contraire, ça l’excitait. Elle voyait sa grand-mère qui pompait leur ami le chasseur, mais surtout elle la voyait se faire tringler par le chien. Elle ignorait dans quel trou se trouvait sa bite, mais la position lui donna une énorme envie de se faire sodomiser: — Loup, Loup, encule moi mon ami, explose moi le cul s’il te plait. — Avec plaisir Chaperon, je vais t’en mettre comme jamais tu n’en as pris. Il se retira pour investir son fion, d’un petit calibre pour commencer. Sa chatte était abandonnée et elle sentit comme un grand vide. Elle voulut se doigter, mais elle était tellement ouverte que c’est sa main qu’elle enfouit toute entière. Elle ne s’inquiéta pas de son trou béant, prise par le plaisir de se fister, en même temps que le loup s’occupait de son autre orifice. Il lui mettait des bites incroyables, de plus en plus longues, et elle acceptait toujours en hurlant et jouissant du plus qu’elle pouvait. Sans en prendre conscience, elle avait quatre-vingts centimètres de ...