1. Les amis de Jean-Claude (4)


    Datte: 17/05/2018, Catégories: Gay

    Je suis un mec de 62 ans, bi, mais j’aime de plus en plus les hommes. On vient de passer une soirée et une nuit de rêve à trois, chez Jean-Claude, une salope finie de 79 ans. Au petit matin son ami est parti, et on reste tous les deux. Il me parle alors de deux autres de ses amis. Ce sont des jeunes, de dix-huit et dix-neuf ans, et qu’il a rencontré récemment au sex-shop, lors d’une de ses maintenant rares visites. Ils se faisaient un 69 sur un lit, dans la semi obscurité, et il les observait. Il leur a fait une proposition: les recevoir chez lui, pour qu’ils s’aiment sous ses yeux, et s’occupent éventuellement de lui. Ce sont des étudiants, peu fortunés, et ils n’y voient que des avantages. Ils vont économiser le pris de l’entrée (dix euros chacun), ils vont pouvoir s’aimer au grand jour et non dans le noir, ils vont pouvoir faire leur toilette pour terminer. Ils n’ont pas cours le jeudi après midi, et lui rende visite chaque semaine. Ils lui ont dit, eux aussi, que c’était dommage qu’il ne bande plus, et il sait qu’une partie à trois, avec un queutard, serait bienvenue. Je lui demande de les appeler, mais il n’a pas leur numéro. C’est eux qui décident de venir quand ils veulent. Il me promet de leur parler de moi lors de leur prochaine venue. On se repose, on se rendort. A notre réveil, je le baise copieusement, avant de m’en aller. Je suis comme fou à l’idée de baiser avec deux minets, et je n’en dors plus. Le jeudi soir suivant, Jean-Claude m’appelle pour m’annoncer la ...
    ... bonne nouvelle: les jeunes sont d’accord pour me rencontrer chez lui. Encore une semaine à patienter. Le jour tant espéré arrive enfin. Jean-Claude m’a invité pour déjeuner, et à treize heures on a terminé. Les jeunes ne devraient pas tarder. Dix minutes plus tard, ils sont là. Notre hôte fait les présentations, et on se fait la bise. Il s’adressent à eux: — Vous nous faites le spectacle mes chéris? — Bien sûr, vieux cochons, on est là pour ça. Ils se déshabillent rapidement, et se retrouvent entièrement à poil. Ils sont beaux, magnifiques: grands, minces, musclés, pas un poil, le sexe rasé. Ils ont des fesses parfaites, bien fermes, bien charnues, et une longue bite qui pendouille à mi cuisses. Ils se prennent dans les bras, se collent l’un à l’autre, se roulent des pelles tout en se branlant la queue et se pelotant les couilles. Oh, putain que c’est beau! Je bande. Le vieux m’invite à les rejoindre. Je me défringue à mon tour, et m’approche d’eux. Le plus jeune, Guillaume, s’adresse à moi: — Tu aimes la bite il parait! Suce nous, salaud. Ils se séparent pour m’offrir leur trique magistralement dressées. Ces bites! Ces bites! Elles sont superbes. Pas très épaisses, moins de cinq centimètres, mais bien longues, plus de vingt centimètres. J’en embouche une, sans savoir laquelle, tellement je suis excité. Elle est bandée, sans être trop raide, un peu souple, et je peux la gober toute entière, en gorge profonde. Je la savoure quelques instants, puis je passe à l’autre pour ne pas ...
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