1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°797)


    Datte: 18/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château – (suite de l'épisode précédent N°796) – Une bonne heure plus tard, je fus détachée et Walter m’ordonna de me rhabiller. Les routiers partirent sans plus me regarder, lâchant encore quelques insultes à mon égard et remerciant chaleureusement Walter. Le Majordome m’emmena au snack-bar et m’offrit un bon repas, payé par la cagnotte de l’urne, par l’argent des routiers ! Walter me lança avec ironie : - Et mange bien, tu l’a bien mérité, chienne salope ! Tient, je te laisse le reste de l’argent que tu as gagné, la pute, il y a largement de quoi payer tes frais de route… A la fin du repas, il me quitta et m’ordonna de reprendre prudemment la route. Je le vis monter dans la voiture de sport et démarrer rapidement. Je me retrouvais donc de nouveau seule et repris l’autoroute tranquillement en me ressassant cette aventure dans cette aire de repos. La route est encore longue pour arriver en Bretagne et au bout de 2 h, je m’arrêtais de nouveau afin de marquer une nouvelle pause car j’avoue être bien fatiguée. La route mais aussi m’être donnée totalement à ces routiers m’avaient exténué. Sur le parking de l’aire de repos, je me gare à l’ombre d’un grand platane et je verrouille ma voiture de l’intérieur afin de faire un petit somme, ô combien réparateur. Je baisse légèrement mon siège et m’assoupis rapidement, la fatigue aidant. Et dans mon songe profond, je me mis à rêver à ceci (rêve sublime que je me souviens parfaitement) : ‘‘Je suis dans une grande pièce au ...
    ... Château et je suis réveillée par des petits coups de martinet sur mes fesses. C'est Walter qui se charge de mon réveil. Il en profite pour glisser son sexe dans ma bouche histoire de prendre un peu de plaisir au passage. Là j'ai les mains libres je peux donc docilement lui saisir sa bite pour le lécher à mon aise : il semble apprécier mais je n'ai pas le temps de le faire jouir car au bout de quelques minutes, il attrape la chaîne reliée à mon collier, la détache de l’anneau et m'emmène telle une vulgaire chienne au bout de sa laisse, me dandinant avec le gode planté en moi. J'arrive dans une autre salle que je ne connais pas encore.. Au centre se trouve une grande caisse percée de trous, trous masqués par des rabats en caoutchoucs et tout autour du matériel effrayant : une croix, une table avec des fixations pour les membres, un poteau avec des attaches, des chaînes pendant du plafond, fixées à des poutres assez hautes. Une collection de martinets et divers autres objets sont posés sur un buffet un peu plus loin. Walter m'enlève enfin mon gode qui sort de ma chatte avec un bruit de succion, la laissant dilatée. Puis il m'enlève la chaîne de mon collier et me fait rentrer dans la grande caisse au centre ou je tiens debout sans pouvoir me plier d'aucune façon. Ca me fait penser à un espèce de sarcophage vertical. Dans la caisse, il me fixe les poignets au collier grâce aux deux bracelets en cuir qu’il me remet. J'ai donc maintenant les deux mains coincées sous le menton, sans ...
«1234...7»