1. Une histoire à choix multiples


    Datte: 18/05/2018, Catégories: f, h, couple, vacances, caférestau, telnet, cérébral, BDSM / Fétichisme massage, héros,

    ... pouvait durer des heures… parfois, elle se demande ce que peut penser P… mais il ne bouge pas non plus… seules de légères ondulations du bout des doigts sur sa peau entraînent un léger clapotis… Alors que F a les yeux fermés, et est complètement abandonnée… P lui dit doucement : — Tu dors ?— Non.— Tu as remarqué que les bougies ont commencé à s’éteindre ?— Non.— Que l’eau commence à être froide aussi…— Non plus… je suis contre toi… je ne sens que cela… ventousée… (sourire)— Tu veux sortir ?— Oui… je crois…— D’accord… Encastrés comme ils le sont, F doit se lever la première… se rince à l’eau très chaude… P la suit… ils restent ainsi encastrés un long moment sous les jets d’eau chaude… ils se caressent dans un élan de bien-être partagé… tout est simple et évident….. F est sereine, détendue… elle se sent bien… et en oublie même le regard acéré qu’elle porte sur elle… contre lui… elle est une autre… P est détendu aussi… est-il possible qu’il ait la tête vide ? Puis elle sort… lui tend une grande serviette… et ils se sèchent… Et maintenant ? Tu veux boire un thé ?(scène 10) ou encore autre chose ?(scène 13) — Un thé…— Je vais faire chauffer de l’eau…— Installe –toi, j’arrive…— Où veux-tu que je m’installe ?— Comme tu veux… devant la cheminée… sur le tapis(scène 11) ou dans un fauteuil…(scène 12) Enroulé dans sa serviette, P s’installe en tailleur sur le tapis… La chaleur du feu achève de sécher les dernières perles d’eau de son torse… Son regard bleu océan se perd dans le vide ...
    ... des flammes… Purcell tourne toujours en mode repeat… L’atmosphère est feutrée… douce et calme… comme jadis lors de leur première escapade à Cernay… Elle a eu une bonne idée F de se retirer du monde quelques jours dans ce chalet… Quelques minutes plus tard, F apparaît. Elle a remis sa tenue légère… refermé consciencieusement les petits boutons de nacre… et pose le plateau avec deux tasses de thé à la menthe… Elle s’assied face à lui… les jambes repliées sous elle… elle le regarde intensément… elle l’observe alors qu’il semble rêver… elle le trouve très séduisant… et est toujours interpellée par ce qui peut se passer derrière ce grand front… elle finit par lui tendre une tasse… et le sucrier… en souriant… un sucrier… un vieux souvenir… depuis… elle regarde toujours les sucriers avec un regard secret qui la ramène vers lui… Il la remercie d’un sourire… Hormis Purcell qui transperce le silence accompagné du crépitement du feu… pas un bruit… pas un mot… il est doux de ne rien dire… Les mains sur sa tasse… elle attend que la fumée s’estompe… elle ne boit jamais chaud… elle est décontractée… comme si rien n’existait… d’ailleurs, il n’existe rien… qu’eux deux… perdus au bout du monde… dans un chalet… Le temps de décompression s’étire langoureusement… en apparence… Pour Fanny mille pensées se bousculent… mille envies contradictoires aussi… se lover contre lui doucement (lire la suite)… ou se jeter sur lui sauvagement…(scène 14)… ou sortir(scène 15) L’envie d’être contre lui devient ...
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