1. Une histoire à choix multiples


    Datte: 18/05/2018, Catégories: f, h, couple, vacances, caférestau, telnet, cérébral, BDSM / Fétichisme massage, héros,

    ... toutes les parties de son corps sont électrifiées… et en état d’alerte maximum… il en est de même pour lui… quelques minutes plus tard, elle est emboîtée, empalée sur lui… elle aimerait tout et son contraire… être assise sur lui tandis que ses doigts la saisiraient à pleine mains… les seins… la taille… ou au contraire… allongée sur lui pour le toucher partout… sa tête tourne… elle ne sait pas très bien… Purcell est loin… tout est loin sauf lui… Elle aimerait qu’il lui signale ce dont il a envie… mais il semble être dans le même état… envie de tout… D’un geste solide et fort, il la force à se redresser pour la regarder… et commence par de légers coups de reins à la pénétrer plus profondément… il retient sa force de peur de lui faire mal… elle suit son rythme et l’invite à s’abandonner par des ondulations de réponse… Des perles d’eau réapparaissent sur son torse… il était pourtant sec… Les perles d’eau pointent aussi sur son corps à elle de ce corps à corps à corps perdu dans les abîmes de sensualité passionnée tel un cheval lancé au galop… rien ne peut les arrêter… la chevauchée est fantastique… fantastiquement sportive, fantasmatiquement impensable à priori dans leur tête de gens bien élevés et pleins de retenue… surtout la sienne… Elle se redresse comme le cheval qui rue… dans un ultime soubresaut pendant qu’il émet de longs râles de plaisir… Leurs mains se cramponnent, leurs ongles s’incrustent dans leur peau pour ne pas vaciller… Tout est plaisir orgasmique… malgré la ...
    ... violence du corps à corps, rien n’est violence… ou tout est douce et délicieuse violence… elle sent un liquide chaud se répandre en elle… ses cuisses se resserrent… Il se cramponne de plus en plus fortement à sa taille… le front plissé, la bouche entrouverte laissant siffler dans un ultime murmure un long "je t’aime " comme un serpent qui se faufilerait le long de son corps… Elle en a des frissons… Quelques secondes plus tard, humide de sueur, elle s’affale sur lui… les bras en croix sur ses bras qu’il a étendu en croix dans un relâchement total… Exsangues, ils restent là comme KO d’un tel combat… F ne veut ni ne peut bouger… P semble s’assoupir… Un bien-être se répand… une douce torpeur les envahit… ils sont plongés dans un demi-sommeil… jusqu’au moment où F commence à sentir le froid l’envahir… Elle se blottit plus serrée encore dans ses bras… mais le feu n’est plus que faible braise… Il doit être tard… — P, j’ai froid… Il referme ses bras sur elle… — Tu veux une couverture ?— Hum… je n’ai pas envie de bouger… mais vraiment… j’ai froid…— Tu sais, il doit être tard… tu veux sortir ? te coucher ? Ils sortent(scène 15)… ou ils se couchent(scène 16) N’ayant pas dîné, ils se décident pour une fondue dans un chalet non loin au milieu de nulle part. Il est déjà tard mais, par chance, le patron accepte de les servir. Ils se laissent guider vers une table un peu isolée. La tonalité de ce restaurant de montagne est bois, odeur du fromage mêlée à celle du feu de bois, bougies sur les ...
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