Un pari agréable
Datte: 18/05/2018,
Catégories:
ffh,
jeunes,
asie,
inconnu,
fépilée,
sales,
train,
odeurs,
pied,
Masturbation
facial,
Oral
nopéné,
jeu,
... peine. L’odeur du pied de Léa était forte, mais très supportable… un peu comme un morceau d’emmental, mais avec des effluves de plastique… La semelle des tong sans doute. Je me régalai pendant deux minutes, puis je mis fin au supplice de Léa. Je me tournai vers Surami : — À vous maintenant, donnez-moi votre pied. Surami me tendit son pied. J’enlevai sa chaussure, et l’odeur de la socquette blanche humide me révéla déjà que Surami serait en tête du concours ! Je retirai la socquette, et je portai rapidement le pied asiatique à mon visage. Il était très humide, et son odeur beaucoup plus âcre que celui de Léa. Je sentis aussi des odeurs de lessive et de vieux cuir… Son pied était un peu plus grand, et les ongles n’étaient pas faits. Mais j’en profitai tout autant ! Je reposai enfin le pied de Surami au sol, et regardai les deux amies… Léa était inquiète, et parla la première : — Alors ! Qui de nous deux a les pieds les plus immondes ?— Immondes, je ne dirais pas ça ! Mais Surami a les pieds les plus odorants, la faute à ses Adidas… Je leur décrochai mon plus beau sourire, puis je demandai : — Et… c’était quoi le pari ? Surami s’approcha de moi, se mit à genoux devant moi, et entreprit de défaire ma ceinture et ma braguette ! J’eus un mouvement de recul… — Ben voilà, m’expliqua-t-elle, celle dont les pieds puent le plus doit vous faire une pipe jusqu’à ce que sperme arrive ! Vous voulez ? Je ne dis rien, mais je soulevai mes fesses pour que Surami puisse descendre le pantalon ...
... facilement. Elle descendit aussitôt mon slip, et se retrouva en face de ma queue bien dressée par cet apéritif podologue ! Elle la prit dans sa main et commença à la sucer gentiment. Avec sa main libre, elle me caressait les boules avec délice ! Ah, elle savait y faire, cette cochonne ! — Heureusement que ce n’est pas moi ! Je ne sais pas trop faire ça… dit Léa en rougissant de plus belle. Elle n’en perdait pourtant pas une miette ! Je suis long à venir, et je comptais bien profiter de cette chance. Je pris la socquette de Surami et je la portai à mon nez afin de profiter de sa forte odeur de pied. — Tu préviens quand tu vas cracher, me dit ma petite suceuse, j’avale pas ! Enfin, pas par surprise ! Ma main partit en exploration sous le tee-shirt, et je caressai les seins de Surami. Elle aimait ça, car ses tétons se raidirent sous mes caresses, et elle ne pût retenir ses gémissements, malgré sa bouche pleine ! Après cinq minutes de ce traitement, Surami lâcha ma bite et se tourna vers Léa : — Dis, ma vieille, aide-moi, il est long à venir et j’aimerais bien faire sortir sa sauce avant la paralysie faciale !— Mais je suce pas, moi !— Non, j’ai perdu, je suce ! Mais montre-lui tes nichons et ta chatte ! Avec ta jupe c’est facile ! Je vis alors Léa remonter son top, et sortir ses petits seins d’un soutien-gorge transparent assorti au string entrevu précédemment ! Ses tétons roses s’érigeaient au milieux de deux larges aréoles presque de la couleur de sa peau. Surami regardait sa ...