1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°977)


    Datte: 18/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°976) - … et je n'allais pas rester quatre jours sans recevoir de nouvelles exigences… Dès que je fus arrivée à la villa, je commençais par connecter l’ordinateur à Internet, j’ouvris, ma messagerie et Skype, pour être disponible dans le cas où le Maître voudrait exiger quelque chose de moi. Je fis bien, car un mail m’attendait déjà : « Ma chienne, dès que tu liras ce mail, tu te déshabilleras si ce n’est pas déjà fait, tu mettras ton plug, tes pinces à tes tétons et à tes lèvres intimes de chienne en chaleur, et un bâillon-boule. Normalement ta laisse et ton collier sont toujours à ton cou (du moins tu as intérêt ! Si ce n’est pas le cas, tu devras me le dire et je te sanctionnerais !). Comme je te l’avais annoncé, le frigo est plein. En revanche, le ménage n’a pas été fait. Tu as jusqu’à 16h pour le terminer. Tu m’informeras par un mail dès que tu auras fini. » Je portais instinctivement ma main à mon collier. Bien sûr il ne m’avait pas quitté, ainsi que ma laisse ! Je me sentais si nue sans eux, que j’attendais à chaque fois le tout dernier moment pour les enlever. J’enlevais rapidement mes vêtements, les pliais et les posais sur le canapé pour pouvoir les attraper et les remettre rapidement lorsqu’il serait temps d’aller chercher mes filles à l’aéroport. J’allais dans la salle de bain pour mettre en place tous les accessoires exigés. Puis je me mis immédiatement au travail. Il ne me ...
    ... restait que deux heures pour tout nettoyer. Je ne devais pas partir avant 17h, mais le Maître avait certainement Ses raisons pour m’imposer un délai plus court. Je m’activais donc et faire le ménage ainsi accoutrée m’excitait grandement. Quand je marchais pour passer l’aspirateur par exemple, je sentais les pinces pendantes bouger sur mes lèvres intimes et m’apportaient une petite douleur mélangée à une excitation latente et qui ne demandait qu’à se développer… A un moment donné, j’eus envie d’uriner et j’allais donc me soulager à la salle de bain où je me mis à quatre pattes sous la douche italienne. Je me mis à lever la patte arrière et pissa comme une véritable chienne car c’est ainsi, de cette façon, que je devais et pour toujours, uriner. Ensuite, je sentis longuement mon urine approchant le nez (ou plutôt mon museau de petite chienne) à quelques centimètres du carrelage … À 15h58, je finissais de ranger mon matériel et je me posais devant l’ordinateur. Alors que je commençais à rentrer l’adresse mail du Châtelain, un son m’annonçant un message Skype retentit. C’était Lui qui m’écrivait précisément. « Bien, tu as fini dans les temps ! Comme tu sais, toute la villa est abondement équipée de vidéos surveillance… J’ai ainsi vu que tu avais bien gardé ton collier. Il valait mieux pour toi. J’ai adoré te voir te pencher en avant pour passer l’aspirateur ou la serpillère, tes seins ballotant au rythme de tes mouvements, ton cul rebondi se trémoussant dans chacune des pièces. Mais ...
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