1. La caméra espion 12


    Datte: 19/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... l’enlever, puis la jeter au visage de Philippe. Après quelques secondes de surprise, il la brandit au dessus de sa tête comme un trophée. Chantal, affalée sur le fauteuil est prise d’un fou rire plus alcoolique que naturel. Les jambes dressées en l’air, elle ouvre ses cuisses pour offrir une vue imprenable de son sexe que je devine ouvert. - Alors les gars ! Je vous l’avais bien dit qu’elle faisait tout ce que je lui demandais. Elle mange dans ma mimine, cette salope. Annie, de la cuisine, invite à passer à table. C’est André qui aide ma femme un peu titubante à venir s’assoir. Je rejoins la salle à manger à mon tour. André me lance un regard qui en dit long. Moi, serein, j’affiche un visage satisfait et heureux, sûr de lui. En passant près de Chantal je lui donne un baiser dans le cou, plein de tendresse. Elle me répond par un sourire qui me rassure sur ses sentiments. Le repas se déroule sans incident. Chantal est l’objet de blagues plus ou moins drôles mais surtout un peu orientées sexe. Elle rit, s’amuse et ne s’intéresse pas du tout de ma présence. Moi, je fais semblant de beaucoup boire pour montrer à mon tour que je suis bourré. On ne laisse pas le verre de Chantal se vider. Ni celui d’Annie d’ailleurs. Je devine que le plan de Philippe est de nous mettre hors course pour s’amuser avec ses potes de ma femme maintenant à disposition. Je remarque que Chantal contrôle bien la situation et se garde de boire tout ce qu’on lui présente. Tout va pour le mieux. Jacques nous ...
    ... invite à regagner le salon pour déguster un petit cognac. Annie est déjà bien partie et elle monte à l’étage se coucher sans même nous saluer. Je vois les yeux et les regards des trois individus briller de satisfaction. Je comprends que je dois aussi disparaître. Je choisis de me laisser tomber de sommeil sur la table à peine desservie. Je prends la précaution de laisser ma tête tournée vers le salon des lubricités. Je me mets à ronfler au moment où Philippe porte et allonge Chantal sur le divan. Elle est bien gaie mais pas complètement bourrée. Je la vois porter son regard vers moi comme pour s’assurer que je suis out. Je pense en moi-même : que la fête commence ! Philippe se plante en face et lui prends les chevilles pour lever ses jambes pour montrer à ses complices qu’elle est toujours à poil dessous. - C’est une belle salope non ? Elle se laisse aller devant son mari qui cuve son pinard ! André, toi qui m’en parle tout le temps, tu veux la toucher ? Elle est chaude là et elle en veut ! Je te la prête, comme je t’ai promis. - Putain qu’elle est belle cette pute. J’ai envie de me faire sucer. Apparemment, ma présence ne les gêne pas du tout. Pour essayer de voir jusqu’où ils peuvent aller, je tousse, ouvre les yeux et regarde la scène. Je joue l’incrédule, fais un sourire béat et retourne dans mon sommeil simulé et protecteur. Je les entends ricaner tous les trois, et il me semble également distinguer le son de voix de ma femme. - Tu vois comment ton cocu s’occupe de toi ? ...