1. Une tranche de vie 13


    Datte: 19/07/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... pénétrer au maximum. Cette pénétration entraine des petits cris de plaisir et de long soupir à chaque pénétration. C’est alors le moment ou AL dit : « Embrasses moi, lèches moi, tes lèvres, suces moi, prends moi avec ta langue ». Ce que je fis et qui entraina de nouveaux soupirs et de nouveaux cris. Arrivé à ce point, je la fis asseoir sur le sofa et moi à genoux, j’avais la queue à la hauteur de sa chatte. Elle maintient sa chatte grande ouverte, je n’ai eu qu’à me guider en elle. Son fourreau était trempé, dégoulinant de son plaisir et il était facile de s’enfoncer en elle. J’aime cette position car si au début c’est un peu AL qui mène la danse, à ce moment et dans cette position, placée comme elle l’est, elle ne peut que subir mes coups de reins, qui en fonction du rythme de sa respiration et de ses soupirs, j’accélère où je ralentis. Et je m’aperçois que plus ça va plus elle aime cette douce brutalité, qui, se sentant dominée augmente son plaisir. Quand elle sent venir son plaisir, elle m’enserrera dans la pince de ses jambes et se cramponne à moi en criant son plaisir et surtout en me demandant de ne pas m’arrêter et ce, jusqu’à ce que je me vide en elle. Ces exercices étant terminés, je lui demandais quand elle comptait lui annoncer la bonne nouvelle, quand il pourra la sauter, et où ? AL : « À part le vocabulaire, comme tu es d’accord, je pourrais lui dire samedi en boite » Moi : « J’espère que tu attendras qu’il pose lui-même la question. » AL : « Ne t’inquiète, il la ...
    ... posera. » Moi : « Ou tu feras en sorte qu’il la pose. » AL : « Tu es un goujat. » Moi : « Oui, mais tu m’aimes parce que je fais ce que tu veux. » Une soirée chez des amis et + Samedi 22 aout 1981- Jean raconte Le samedi, nous devons diner avec des membres de la bande dans une pizzeria. AL s’était préparée, alors que je l’attendais elle arriva ayant passé une robe noire, qui n’était pas fermée que jusqu’au hanches. Elle me dit : « Peux-tu finir de remonter la fermeture éclair, je ne peux pas le faire seule». Ce que je fis. AL réajustant sa robe se retourna, me demanda : « Ma nouvelle robe te plait ? » Comment ne pouvait-elle pas me plaire ? Cette robe lui collait à la peau mettant en valeur ses seins bien ronds et bien gonflés. Le haut étant tenu par deux bretelles attachées à la robe par deux gros boutons formant un grand décolleté. Elle suivait consciencieusement ses formes. Elle était montait sur des sandales à lanières et à talon, qui lui donnait au moins sept centimètres de plus. C’était la hauteur qui tout en lui arrondissant le mollet lui affinait la jambe et surtout lorsqu’elle marchait donnait vie à son Elle était extrêmement sexy. Il était visible qu’elle ne portait pas de SG, avait-elle quelque chose sous sa jupe ? De telles tenues me donnaient toujours des idées. Je m’approchais d’elle par derrière et me collant à elle, pris ses seins et les caressais et je sentais les pointes qui commençaient à durcir. Al : « Tu ne vas pas commencer » Moi : « Oh que si, habillée ...
«1...3456»